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Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... masturbée la première fois. » Je fis place net et me retrouvais comme je l’avais dit. Je rinçais, lui donnais une serviette pour m’essuyer et allais m’allonger sur le lit. Je lui fis signe de me rejoindre. On s’embrassa tendrement. « Peux tu me montrer la sensation que cela fait maintenant. » Elle repris sa place entre mes cuisses et me caressa. Je gémis en tremblant tellement la sensation était délicieuse. Sa langue avait un tout autre effet sur ma chatte. Plus que quelque minute avant l’arrivée de l’étalon. « Viens ma belle que je te remercies de ton assistance. » Je la calais entre mes coussins tout en la dévorant de baisers. Je remontais le bas de se robe de chambre et allais honorer à mon tour sa petite chatte déjà bien juteuse. Je la fis mouiller abondamment en préparation de la suite. A 22 heures, on frappa à la porte. Ponctuel le jeune homme. Je levais la tête, tout en massant le sexe de Juliette. Je la regardais. Je la vis paniquer lorsque je dis à la personne d’entrer. Le beau jeune homme apparut. Juliette était rouge de honte. « Déshabille toi beau mâle! Notre amie est prête à te recevoir. » Juliette me regarda alors le regard plein de questions. Je lui souris et retournais à mon repas sans quitter le déshabillage du jeune homme. Ho quel magnifique queue! Du regard, je fis comprendre à Juliette de regarder en direction du jeune homme. Elle le fit et rougis encore plus. Il astiqua son membre déjà en plein érection. Sans quitter la petite chatte juteuse, je lui ...
... fis signe de nous rejoindre. Il ne se fit pas prier. Je sentis ses mains sur mes fesses. Je lâchais alors mon repas. « Non beau jeune homme, tu n’es pas là pour moi, bien que cela me désole un peu. Je regardais Juliette. « C’est pour elle que j’ai fait demander tes services. Je pris les mains du jeune homme et les posais sur Juliette. On la déshabilla. Elle tremblait de peur et de désir je suppose. « Vas y délicatement. Les pétales de cette jeune fleur ne sont pas encore totalement ouverte. Elle a besoin de l’engrais dont tu disposes et en abondance. » Il s’approcha d’elle et l’embrassa en douceur. Elle se laissa faire et répondit favorablement. Il la caressa alors doucement de ses mains, de sa bouche et de sa langue. Son corps se mit à tanguer. Je me mis à l’écart, jouant les spectatrices. Mon choix du beau mâle avait été judicieux. Sa bouche se posa là où j’étais il y a quelque minute. Il but ses liqueurs. « Vas y maintenant, prend la! » Il s’installa entre les cuisses de Juliette. Je m’approchais d’elle, la prenant contre moi. « Allez, c’est maintenant ou jamais. » Son sexe se posa à l’entrée de sa vulve. Je la sentis trembler. Il s’enfonça alors doucement en elle. J’embrassais Juliette, séchant ses larmes à coup de langue. Je sentis son corps trembler lorsqu’il la déflora. « J’ai mal, » me disait elle. « Chut, chut, cela va passer. Ce ne sera plus qu’un lointain souvenir. » Le jeune homme commença son travail de piston, tout en douceur. Juliette se mit à gémir. Au bout de ...