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Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... sentis glisser une main sur ma chatte et me pénétrer de ses doigts. Il lapait également les liqueurs de Juliette. Je repoussais alors Juliette afin qu’elle s’occupe de ma chatte. La belle me suça aussi bien que mon jeune paysans. Celui ci branlait d’une main Juliette, et de l’autre son pénis. Il grogna et éjacula sur son ventre. Je jouis à mon tour sous la bouche de Juliette. Alors qu’elle venait m’offrir le résultat de son travail, le jeune homme glissa ses doigts en moi afin de boire la liqueur qui aurait du lui revenir si Juliette n’était pas intervenu. Certain soir, les attouchements buccaux de mon jeune élève ne suffisaient pas à calmer mes ardeurs. Je me couchais tout de même mais mon corps, en proie à ses douces pulsions, ne me laissait pas de répits. Je repoussais alors les draps et me masturbais. Je me mis donc à rêver du jeune paysans, de ma protégé, du jeune homme qui l’avait dépucelé. Ce jour là, je m’étais rendu dans les écuries afin de demander au palefrenier si je pouvais disposer de son fils dans la soirée. Le palefrenier était bel homme, musclé et grand. J’avais déjà vu son fils faire l’amour avec l’une de mes servantes et si le père était aussi bien monté que le fils, cela devait faire des étincelles. Sa femme était servante chez le gentilhomme et ne venait que très rarement voir son mari et son fils. Pauvre homme, la solitude devait lui peser. Je ne le voyais que très rarement parce que son regard me troublait au plus profond de mon être. « Mon fils ...
... sera à vos ordres Madame. Dite l’heure et il sera chez vous. » « Merci. Pour 22 heures alors. » « Il y sera Madame. » Je pris congé encore bouleversée par son regard pénétrant. Une heure avant l’arrivée du jeune homme, je fis venir Juliette dans mes appartements. Elle était surprise du fait que je la fasse venir à une heure si avancé. Je la reçu vêtu uniquement d’une paire de bas et d’un porte-jarretelle. « Madame a besoin de mes services. » « Oui ma belle Juliette. Madame de Porterie m’a fait part d’un sujet particulier que j’aimerais mettre en œuvre à mon tour. Seulement il me faut une aide dans la préparation. Je m’installais dans une chaise près d’une vasque remplit de mousse et ou trônait un rasoir. J’écartais alors les jambes. « Ravissante Juliette, pouvez vous venir me lustrer la chatte. Il me faut une salive abondante pour mon projet. » La belle prit place sans broncher et sa langue coquine se mit en œuvre. C’était délicieux. Je la laissais me lécher un bon moment jouissant de plaisir puis l’écartais délicatement. J’appliquais alors la mousse sur mes poils pubien et autour de mes lèvres juteuses. Je l’étalais sous le regard attentif de Juliette, toujours à quelque centimètre. Je tendis un doigt, et malgré la mousse elle le suça avidement. Ma liqueur et sa salive remplissaient bien leur office. Je pris le rasoir et me rasais la chatte. « Madame, vous êtes folle! » « Non ma tendre Juliette. J’aimerais me sentir aussi nue que lorsque j’avais 12 ans, l’âge où je me suis ...