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Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... quelque minutes, elle semblait aller mieux, gémissant non plus de douleur mais de plaisir. « Ca va Juliette? » « Ho oui Madame, c’est trop bon. » « Tu veux que je lui demande d’arrêter? » « Non, non tout mais pas ça. » « Allez y jeune homme, elle est tout à vous maintenant. » Il accéléra alors le rythme. Juliette hurlait. Je m’installais au coin du lit et les regardais tout en me masturbant. Le spectacle me plaisait mais je voulais autre chose, une belle queue dans ma chatte humide. Je pensais alors au père du jeune homme. Il n’était pas insensible à mes charmes. Je quittais le lit et passait une longue capeline, restant nue dessous. C’est de sexe que je voulais et non de mondanité. Je pris une lanterne et sortis. La fraîcheur de la nuit me fit du bien. Je me dirigeais alors chez le palefrenier. J’étais de plus en plus excitée à mesure que je me rapprochais de chez lui. La capeline dévoilait ma nudité à chacun de mes pas. J’étais un vrai appel au viol. J’entrais dans sa maison sans frapper alors qu’il était en plein ablution vêtu que de son pantalon. Il sourit en me voyant comme si il s’y attendait. Ce sourire me fit mouiller un peu plus. Je retirais ma capeline lui offrant ma nudité. Le vêtement avait caressé mes seins pendant le trajet et mes tétons étaient alors arrogants. Tremblante de désir, je me collait alors dans son dos humide. Je caressais alors se corps musculeux. Il se retourna, avec toujours ce sourire énigmatique et ses mains se posèrent enfin sur moi. Elles ...
... étaient larges et très rugueuses. Mon corps tremblait un peu plus à se contact. Il me flatta la poitrine, les hanche et les fesses. Je mouillais comme une jeune collégienne. Il me poussa alors vers son lit. Je m’y allongeais sur le dos écartant mes cuisses, offrant mon sexe imberbe en cadeau. Sa vu semblant lui plaire. Il me pinça les tétons me faisant gémir de douleur et sa main descendit vers ma féminité. Je gémis à nouveau lorsque ses doigts touchèrent mes lèvres. « Tu mouilles ma salope? » dit il. « Oui, je mouille pour toi. » Il sourit et descendit son visage entre mes cuisses. Je sentis sa respiration sur ma chatte et une langue commença à aller et venir sur mes chairs liquéfiées. Il n’était pas aussi doué que mon jeune paysans et ma Juliette, mais cela me suffisait. J’étais trop excitée pour lui en tenir grief. « Je veux ta queue. » luis dis le regard lubrique. Je l’aidais à se débarrasser de son pantalon et le poussais à ma place dans le lit. Comme je l’avais deviné, il était aussi bien doté que son fils. Je le pris délicatement dans ma main et le branlais tout en allant lui offrir ma bouche et mes seins à lécher. Sa main me caressa l’intimité. Je léchais ensuite son torse en gémissant de plaisir. Je me redressais et me positionnant au-dessus de son superbe membre, je m’empalais. Une fois que mes chairs intimes furent adaptées à son pieu, je me lançais dans une chevauché sensuelle. « Oh ce que ta queue et bonne. Elle me remplit à merveille. » Je le chevauchais ainsi un ...