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Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... ai gardé un bon souvenir. C’était une soirée organisé par elle pour son arrivé dans la région. La plupart de mes amants et amantes faisaient partis des invitées. Je papillonnais des uns aux autres. Il n’y avait pas de secret dans tout cela. J’embrassais sur la bouche, sans complexe, les femmes devant leur mari, mari qui avait également goûté à mes charmes. Madame de Porterie m’observa pendant tout la soirée. Je me faisais régulièrement peloter les fesses par les couples avec qui je conversais. Je réussi à m’éclipser dans une pièce afin de me faire lustrer le minou par une jeune femme sous les yeux de son mari. C’est dans cette pièce qu’elle me retrouva alors que je reprenais mes esprits. A côté d’elle se tenait un homme que je voyais pour la première fois, vêtu d’un unique pantalon en cuir. Elle me désigna du doigt. « Prépare la moi, je vous rejoint dans cinq minute, » dit elle. Celui-ci s’approcha et me prit par la main. Il m’entraina avec lui dans les couloires de la maison. On arriva dans une pièce ou trônait un lit en plein milieu. Des chandelier au quatre coin l’éclairait. On s’approcha du lit et une fois au pied de celui-ci, l’homme commença à dégrafer mon corset. Je le laissais faire, goûtant au plaisir de se faire déshabiller par un si bel homme. Me seins émergèrent du tissus, les tétons bandés. Je cherchais le contact de sa main mais celui-ci reculait constamment. Ma chatte mouillait. Il s’attaqua ensuite à mes jupons. Ceux-ci tombèrent à terre un a un autour de mes ...
... jambes. Il m’aida à enjamber le tas de tissus et me fit asseoir sur le bord du lit. Il prit mes vêtements et alla les poser sur une chaise au coin de la pièce. Il revint vers moi et me fit étendre sur le lit. Il m’entrava alors les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit. Je n’avais conservé que ma culotte et mes bas. J’étais trop excitée pour l’en empêcher. Il regarda le résultat et alla dans un coin de la pièce. L’aire froid de la pièce me fit frissonner. « Caressez moi, s’il vous plait, j’ai froid, » lui dis je. « Ce n’est pas à moi de le faire Madame » « Je vous en pris, venez me frotter, me lécher la chatte, j’ai trop faim, » dis je en me tortillant sur le lit. Il ne répondit pas. J’entendis une porte se refermer. « Laisse nous, mais reste à proximité, je pourrais avoir besoin de toi » dit elle. La porte se referma à nouveau. Elle apparut dans mon champs de vision. Elle me regarda en faisant la moue. « Voici donc la perle dont j’ai tant entendu parler dans les boudoirs, » dit elle. « Je suis Madame de Porterie, maîtresse de ses lieus. Vous m’appellerez ‘Madame’ étant votre aînée de quelques années. » « Bien Madame! » « Etes vous bien installée? » « Oui Madame. » Elle sourit et retira le gant de sa main droite. Elle avança alors sa main vers moi et posa ses doigts directement sur ma culotte trempée, caressant en douceur mes lèvres intimes. Je gémis en ondulant mon corps. « Je vois que votre réputation n’est pas usurpée. Votre attitude dans ma soirée m’avait déjà ...