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Madame de Baincourt
Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... confirmé mon opinion et surtout la manière dont vous vous êtes occupé de ce petit couple tout à l’heure!! Je me réjouis de vous rencontrer. Elle arrêta sa caresse à mon plus grand désespoir. « Vous aimez être attachée ainsi? » « Ho oui » « Vous voulez être mon esclave? » « Oh oui! » « J’ai pas bien entendu. » « Oui, je veux être votre esclave Madame » « Bien » Elle me détacha alors. « Lèves toi » Je m’exécutais et m’approchais d’elle. On se regarda longuement et nos bouches s’unirent en un délicieux et savoureux baiser. Nos langues se mêlait allègrement. Elle me repoussa. « Tu es belle. Tu m’excites, » dit elle. Elle me fis asseoir dur le lit et se déshabilla face à moi. Elle avait un corps désirable, une belle paire de seins et une chatte qui ne demandait qu’a être léchée. « Lèches moi! » dit elle. Avec grand plaisir. Je m’allongeais sur le lit à la hauteur de sa chatte et fis ce qu’elle m’avait demandé à grand coup de langue. La belle n’était pas en reste. Sa vulve était tout aussi humide que la mienne. Je goûtais à ce nouveau nectar. Elle gémit. « Allez, mets toi à genoux maintenant. » dit elle. Je fis ce qu’elle me dit en lui tournant le dos bien évidemment, offrant ainsi mes fesses gainées de sa culotte. Elle me la retira, puis prenant mes deux globe dans ses mains, elle les écarta et je sentis une langue mutine glisser sur mes lèvres gorgées de liqueurs. Elle glissa également dans la chaleur de ma grotte. Je gémissais sous de si doux attouchement. Mon corps tanguait ...
... de plaisir. Elle me tenait par les fesses et la taille, m’assenant de temps en temps une clac sur mes rotondités. Ce traitement était divin. J’avais enfin une femme à ma hauteur dans ses jeux saphiques. Ma petite protégée n’étant pas encore au niveau de Madame de Porterie. Je mouillais de plus en plus. Sa bouche fut remplacée par deux doigts. Elle me masturba ensuite. Quel délice. Son entreprise était facilité par sa salive et mon abondante liqueur. Elle retira ses doigts et lécha une dernière fois ma vulve. J’étais au bord du plaisir. « Ho non, continuez Madame, » dis je de désespoir. Elle sourit. « Reste dans cette position. Martin s’il vous plait » L’homme entra dans la pièce avec une boite en bois exotique. Il la déposa à côté de moi et l’ouvrit. Il sortit un superbe godemiché en bois d’ébènes. C’est la première fois que j’en voyais un. J’appris plus tard que c’était le cadeau de l’un de ses amants qui avait parcouru l’Afrique et qui avait fait faire cet objet dans un village. Il avait choisit le plus beau spécimen de la tribu et demandé à ce que l’on sculpte son pénis dans le bois. Cette chose, le godemiché, n’était pas encore répandu en Occident. Par un ingénieux système de harnais, l’homme fixa l’objet à la taille de Madame de Porterie. Jamais cette engin ne pourrait entrer dans mes chairs, même si elle était amplement lubrifiées. Elle prit alors dans un pot, un produit visqueux qu’elle étala sur le membre en bois. « Laisses nous, » dit elle à son assistant. L’homme ...