1. Chaud week-end à Paris


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou jardin, hotel, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, intermast, entreseins,

    ... et les faisant rouler. Elle me repoussa soudain, se leva et me poussa à m’asseoir à sa place et elle prit la mienne, c’est à dire me tournant le dos, une jambe glissée entre mes genoux. Je compris rapidement ce qu’elle attendait. Le plat de ma main se posa à l’intérieur de sa cuisse. Je sentis alors un frisson parcourir son corps, sa peau devenant granuleuse comme lorsque l’on a « la chair de poule ».Et ma main remonta pour arriver très vite près de ce qui était son but. Mon pouce écarté vint toucher son fond de culotte, glissant de l’avant vers l’arrière. Mon index vint alors se poser à l’avant, prenant en tenaille le sexe de ma cousine. Une humidité qui en disait long sur son désir mouillait sa petite culotte que rapidement j’écartai pour m’insinuer à la source de cette douce chaleur. Mon pouce posé sur sa rosette, mon index plongé entre ses lèvres et mon majeur roulant son clitoris, je crus bien que Evelyne allait exploser bruyamment. Mais il n’en fut rien. Comme ses cousines, elle était capable de contrôler ses émotions en toutes circonstances, ce qui nous aidait bien. Elle se crispa, serrant très fort ma main dont l’index continuait à bouger dans son si doux étui, mon majeur écrasant son petit grain, elle jouit, profondément, silencieusement, magnifiquement. Il était temps, nous allions devoir descendre à la prochaine station. Je retirai mes doigts, remettant bien en place son fond de culotte et me levai. Au bout des quelques secondes qui lui furent nécessaires pour ...
    ... recouvrer tous ses esprits, elle se retourna, me prenant dans ses bras, m’embrassant tendrement et murmurant à mon oreille : — J’ai cru devenir folle, j’aurais voulu crier. Ouah, mon cousin, tu m’as tuée ! Mes doigts s’interposèrent entre nous et, tous deux, nous pûmes juger du degré de son plaisir. Plaisir que je me dépêchais de glisser dans ma bouche, les yeux d’Evelyne rivés dans les miens, complices dans cette cohue, de ce secret que seules nos deux autres cousines partageaient. Nous descendîmes de cette rame bondée mais dans laquelle deux des filles avaient pris leur pied et qui m’avait paru si rapide. Nous prîmes l’escalator où ne se trouvait personne d’autre que nous. Marie-France, sur la marche au-dessus me faisait face : — Tu m’as oubliée, se désola-t-elle. Je glissai ma main entre ses cuisses, caressai quelques secondes sa culotte et lui promis d’essayer de me racheter au plus vite. Nous nous installâmes à une terrasse et prîmes un petit repas que cette journée sportive nous fit dévorer. Marie-France, tournant le dos à la rue, assise face à moi, talons sur les barreaux de sa chaise, genoux s’écartant et se refermant comme si elle rêvait, me présentait ce qu’elle souhaitait que je visite au plus tôt, me jetant un regard furtif pour ne pas éveiller l’attention des autres consommateurs. — Va l’enlever, lui dis-je. Elle me jeta un regard affolé, regarda ses cousines qui lui firent signe de le faire, se leva et disparut au sous-sol. Rapidement elle reprit sa place, glissa sa ...
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