1. Chaud week-end à Paris


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou jardin, hotel, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, intermast, entreseins,

    Laquelle des trois cousines avait eu l’idée de ce week-end à Paris, pour quatre personnes, bien sûr ? Je ne m’en souviens pas. Une grande chambre à deux lits réservée, plus une petite somme pour la restauration et nos frais divers, c’était tout mais c’était une rudement bonne idée. Pour les étudiants que nous étions, c’était parfait. Nous voilà, débarquant du train Gare d’Austerlitz, prenant un bus pour aller à l’hôtel, et nous installant. Il est dix heures, en cette belle journée d’été. Les filles optent pour une jupe courte, sur une petite culotte un peu coquine, et pour un léger chemisier de coton, sans soutien-gorge. Ça commençait fort, d’autant que le chemisier n’était pas boutonné très haut. J’étais un peu inquiet de savoir leur poitrine totalement libre qui, à chaque mouvement, à chaque pas, faisait s’ouvrir ce qui était censé les cacher. — Qu’en penses-tu ? me demandèrent-elles. Ce que j’en pensais ? J’étais partagé entre l’inquiétude, donc, que ces vêtements paraissent un peu provocateurs et la fierté et le plaisir d’être vu en compagnie de trois superbes créatures. Promenade sur les quais, Notre-Dame, rue de Rivoli, direction l’Opéra. Il était midi passé et nous n’avions aucune envie de nous enfermer dans un restaurant. Nous achetâmes donc des sandwiches, des boissons et nous installâmes sur les marches du Palais Garnier. Pendant que nous mangions, profitant du soleil qui nous éblouissait quelque peu, je remarquai qu’un défilé permanent de messieurs, passant et ...
    ... repassant, avait lieu en bas des marches, tous regardant, cachés derrière des lunettes fumées, en direction de la façade devant laquelle nous étions assis. Je compris que mes cousines, comme beaucoup d’autres filles assises comme elles, devaient dévoiler, exposées en plein soleil, ce que les hommes cherchent toujours à voir, leurs petites culottes blanches. Je pense que le manège ne leur avait pas échappé, mais qu’elles s’en moquaient. D’autres s’arrangeaient pour arriver face à nous, monter les marches pour voir en plus gros plan l’objet de leurs convoitises puis, arrivé à notre hauteur plongeaient le regard dans le décolleté de mes cousines. Je feignais bien sûr de ne rien voir, attendant de voir leur réaction, à elles, qui ne vint pas. Je me levai, allai au bout des marches, descendis et entrepris à mon tour le défilé, d’un bout à l’autre. J’avoue que si je n’avais pas été en compagnie de mes cousines, je me serais quelque peu attardé car le spectacle était extraordinaire. Je n’avais jamais vu une telle concentration de petites culottes visibles sur un aussi petit territoire. Des blanches, beaucoup, quelques noires, moins intéressantes, des rouges, des roses, des à fleurs ; un véritable festival. Et aussi, et bien sûr, alignées comme à la parade, mes cousines, genoux sagement serrés mais très relevés et talons écartés, présentant trois triangles de dentelle, derrière lesquelles on voyait le brun de leurs poils. Un très beau tableau. Dommage, je n’avais pas pris mon appareil ...
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