1. Chaud week-end à Paris


    Datte: 07/01/2018, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou jardin, hotel, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, intermast, entreseins,

    ... angle, collés malgré nous, mais non sans plaisir, les uns aux autres. Martine est debout, un coude sur les sièges, dos à la porte. Je lui fais face et glisse ma main entre nous, ma paume sur son pubis, me rendant compte que seulement deux très fins tissus me séparent de ce qu’elle, et les deux autres, m’ont montré tout à l’heure. J’exécute quelques mouvements appuyés pour voir sa réaction. Le regard de Martine interrogateur, ne me quitte pas des yeux. Rotation pour lui tourner le dos. Je replace ma main et la fais glisser vers le haut. Marie-France et Evelyne comprirent vite où je voulais en venir avec leur cousine. Elles se resserrèrent encore pour former une barrière afin que personne ne sache ce qui se passait. Ma main remontant souleva le bas de son chemisier et se trouva posée sur le ventre. Une rotation de celle-ci engagea un, puis deux doigts sous la ceinture, fort opportunément élastique, de sa jupe. Je sentis son ventre se comprimer pour me faciliter le passage. Mes doigts rencontrèrent ensuite le haut de sa culotte dans laquelle ils n’eurent aucun mal à s’insinuer et à prendre possession de son contenu. Mon dieu que ces poils étaient doux ! L’index trouva rapidement ses lèvres entre lesquelles il pénétra, constatant qu’une humidité significative régnait en ces lieux. Et c’est ce qu’il venait y chercher pour revenir trouver un clitoris déjà prêt à ce contact, et qu’il avait perçu dans sa progression. Les filles parlaient, tout au moins Marie-France et Evelyne, ...
    ... Martine faisant semblant de les écouter, mais elle ne les entendait déjà plus. Je la sentais prête à exploser et à dire son plaisir comme j’y étais maintenant habitué. Mais, les trois cousines avaient toutes cette force de concentration qui leur permettait de jouir en silence lorsque ce silence était nécessaire, et en l’occurrence, il l’était. Elle jouit donc, le regard de ses cousines la soutenant, ne la quittant pas tant elles prenaient du plaisir, elles aussi, à la voir jouir du sien. Mon doigt ressortit du sexe de Martine, s’attarda sous son nez, et elles n’étaient, ni l’une ni l’autre, insensibles à sentir ce que leur sexe produisait, et rejoignit ma bouche pour une dégustation attendue. Elle déposa une bise sonore sur ma joue et se dégagea de la place ou elle se trouvait. — Et nous, mendièrent littéralement celles qui avaient protégé ces attouchements. Evelyne s’installa sur le strapontin, dans l’angle des sièges et de la porte. Je lui tournais le dos et ma main partit explorer ce que j’avais vu danser d’elle depuis ce matin et qui me tentait beaucoup. L’échancrure de son chemisier accueillit mes doigts puis ma main qui ne tarda pas à empaumer un sein, à le caresser, à le soupeser. Evelyne s’était penchée en avant pour dissimuler mes gestes et les deux autres cousines reconstituèrent un rempart protecteur. J’allais d’un sein à l’autre avec un grand plaisir, ne me lassant pas de leur texture et de leur douceur. Je sentis que les tétons durcissaient, mes doigts les saisissant ...
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