1. L'incandescence des sens


    Datte: 06/07/2017, Catégories: fh, hplusag, amour, pénétratio, humour,

    ... Mercredi midi, je me suis acheté un petit bouquet de fleurs, en te faisant croire que je l’avais reçu pour mon anniversaire. J’espérais une petite attention, un « bon anniversaire » accompagné d’un bisou claquant. Rien ! Je te signale tout de suite que ce n’était pas mon anniversaire et qu’il faudra encore un peu attendre pour le fêter passionnément, ajoute-t-elle en laissant tomber sa main légère sur son nouveau jouet pour l’instant engourdi dans son écrin de toison mordorée. — Là, je t’arrête. Oui, mardi tes frôlements m’avaient troublé, mais je n’étais pas sûr qu’ils fussent intentionnels. Et pour mercredi, c’était normal de ne pas te souhaiter un bon anniversaire puisque ce n’était pas le bon jour, lui dis-je avec une mauvaise foi évidente et un gentil coup de coude dans les côtes.— Faux cul, va, se défend-elle en tordant les boules de son jouet.— Aïeeeu… Bon, d’accord je ne le savais pas, mais comme je me disais que les fleurs t’avaient été offertes par ton petit ami, je me suis tout à coup senti très triste et sans envie d’en rajouter. Réaction normale du mâle déçu, non ?— Voilà ma malice féminine prise en défaut. Heureusement, il y eut ce jeudi avec sa température très estivale. Là, j’ai joué le grand jeu, et tu n’as pas mal participé. Le coup du léchage de glace était sublime. Tu me lançais de temps à autre un coup d’œil pour t’assurer que je ne ratais pas ton numéro, et surtout pour profiter du mien. Je n’ai jamais dégusté un cornet de crème glacée avec une telle ...
    ... volupté. Je croyais tenir ton sexe en main, avec l’envie de le faire fondre sur ma langue.— Waouw ! Pour moi aussi c’était hyper-chaud. Le jeudi soir, je n’ai pas arrêté une minute de penser à toi. Ni le vendredi soir après que tu m’as raconté des choses très personnelles. Elle dépose sur mon épaule un baiser furtif. Devinant le réveil imminent de la proie qu’elle enserre, sa main s’ouvre et, du bout des doigts, part à la découverte des frissons qui m’envahissent. — Hier soir, arrivée à la maison avec Louis, j’ai voulu ranger ses affaires. Je me suis aperçue qu’il avait vidé son sac chez toi pour y mettre ses munitions de guerre. Il y restait beaucoup de boules de papier journal, et aussi quelques boules de papier provenant sans doute de la corbeille de ton bureau. Je me suis permis de les déplier pour vérifier que Louis n’avait rien subtilisé d’important. Elle me laisse un moment réfléchir à la question, puis poursuit : — Je crois que sur une feuille se trouvaient des mots que tu as dû écrire très récemment en pensant intensément à une personne. Un coup de chaud me paralyse le corps et l’esprit. Elle le perçoit, se remet à califourchon sur moi, promène son sexe impatient sur mes abdos tendus, les enduit amoureusement de nos fluides mélangés. Elle prend mes mains, les pose délicatement sur ses seins, leur impose une juste pression, une juste palpation ondoyante. Rapprochant son visage du mien, elle me murmure : — Les plus beaux mots d’amour qu’un homme peut écrire à une femme ...