Marie
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
portrait,
... étage ou plutôt une mezzanine avec cloison au bout d’un petit escalier droit, genre échelle de meunier. Ce fut vite insupportable malgré nos horaires assez fournis. Elle était serveuse comme moi, elle au bar, moi au restaurant, mais comme il y avait le club, nous avions sensiblement les mêmes horaires. Et au bout de 10 jours je craquais et me mettais vraiment à gueuler sur son mauvais caractère, lui faisant remarquer que je n’étais pour rien dans cette situation, que moi je n’avais rien fait de désagréable et tous les arguments que j’ai pu trouver dans l’énervement. À ma grande surprise, moi qui étais parti pour une engueulade musclée, elle se mit à pleurer. Je me calmais et essayait même de la consoler mais quand je posais ma main sur son épaule elle hurla un « Pas touche » qui me fit me rasseoir sur ma chaise. Néanmoins nous avons pu discuter plus calmement assez rapidement et la situation changea complètement. Marie devint très décontractée en me précisant : — Tu sais, je n’aime pas beaucoup m’habiller au repos dans mon appartement, mais je te préviens, pas touche, c’est tout !— O. K, pas de soucis. Et c’était très agréable de la voir se balader en T-shirt à mi fesses moi dans mon lit avec une vue imprenable qui me faisait souvent bander, obligé d’attendre qu’elle se tourne pour oser sortir. Ses fesses étaient toutes rondes et musclées, très vivantes quand elle se déplaçait et j’adorais ce spectacle. Elle avait aussi un petit short très moulant qu’elle portait sans ...
... rien d’autre, ses petits seins pointus à me ravir la vue. Un jour où je bandais comme un âne parce que Marie se baladait ce coup là complètement nue sous mon nez si je puis dire, je crus rêver en entendant : — Pas grave si t’es dur, tu peux lever, m’en fou.— Non ? Je ne réussis pas à en balbutier plus et contraint par les horaires, je me levais quelques minutes plus tard avec une érection toute vigoureuse puisqu’elle n’avait pas arrêté de se balader, monter descendre, me passer devant ? — Alors ?— Ouais, c’est vrai tu me fais bander.— Pas touche, c’est que moi. Ça c’était le français de Marie. Un matin, je me réveille avec de drôles de sensations. J’étais bien crevé, couché tard parce qu’il y avait un repas spécial pour l’accueil d’un groupe de je ne sais quelle entreprise. Je mis un moment à me mettre à l’évidence et ouvrait les yeux pour voir Marie penchée sur mon sexe en train de le caresser d’une main et les couilles de l’autre. Elle me regarda avec un grand sourire et me pris en bouche toujours ses yeux dans les miens. Elle se mit à monter et descendre sur mon sexe avec sa bouche et commença à promener ses mains partout sur mon corps qui était en plus léché par un agréable rayon de soleil. Par moment tout mon sexe disparaissait dans sa bouche et je sentais le fond de sa gorge qui se contractait et c’était très bon. Ses mains décrivaient des formes en tous sens et de plus en plus vite et m’enflammaient tout le corps. Je voulus me lever mais elle me plaqua dans un geste ...