Marie
Datte: 09/01/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
portrait,
... L’accélération a été inexorable, progressive, sans faille. Les sons se sont mis à sortir de sa bouche et il me semblait en ressentir les vibrations dans son sexe. Moi aussi je me suis mis à râler ou chanter ou crier… et puis ses mains glissèrent de ses genoux et elle s’agrippa à ma poitrine, m’arrachant les quelques poils qui se trouvaient là et, dans cette surprise je crachais en elle tout mon plaisir, toute la fougue qu’elle mettait elle même. Tournant ma tête de gauche à droite dans un mouvement de folie je crois que j’ai crié longtemps. Marie n’avait pas arrêté ses élévations et m’écrasait la taille, les hanches, les couilles sans vergogne à chaque descente et sautant comme une grenouille, elle vint écraser sa fente contre mon visage. Je sortais la langue, mâchouillais avec les lèvres et me retrouvais beurré de son jus et du mien. Elle me bouchait les oreilles avec ses cuisses et du coup je me retrouvais complètement isolé, comme dans un bocal, dans ce bain de sexe, de mouille, de sperme, de cuisses, et secoué comme dans une machine par cette femelle en furie qui voulait tout simplement jouir jusqu’au bout du bout de son plaisir. Un autre saut de grenouille m’abandonna, sonné par son plaisir et le mien. Quand je relevais la tête, je vis Marie allongée sur le ventre, les jambes et les bras formant un X. Je suis allé me laver le visage dans l’eau de mer et m’allonger ...
... au bord de l’eau frappé par les vagues. Je me suis assis le derrière dans l’eau, les bras en arrière face à la mer. J’ai fermé les yeux cherchant le calme intérieur. Marie, à quelques mètres s’est mise dans la même position. Nous sommes restés silencieux. — Faut y aller, dit-elle en se levant et me tendant la main pour m’aider à me relever. La simple pensée de la descente ma glaça le dos. Je pris sa main et une fois debout mes jambes molles me firent carrément peur. En fait je n’ai pas trop de souvenir de la montée sinon que je me retrouvais plusieurs fois le nez dans le cul de Marie qui n’avait qu’une petite jupe sans culotte. Ce ne fut donc pas le calvaire craint ! Je n’avais pas l’intention de vous parler autant de Marie mais plutôt d’une série d’aventures qui me sont arrivées avec un couple client de l’hôtel. En en parlant, je me suis aperçu de la qualité de cette relation avec Marie dont je ne sais rien. Je l’ai retrouvée quelques années plus tard parce que je suis revenu faire une saison dans cet hôtel et nous avons discuté plusieurs fois. Marie était toujours aussi secrète tout en étant charmante, et quand je lui parlais de la plage, elle me dit ne plus y aller, trop vieille me dit elle en partant d’un grand rire. Je ne parierais pas qu’elle n’y allait pas encore mais ne voulait pas partager cette fois. Je n’avais aucune envie de ne pas respecter Marie la secrète.