1. L'abolition des privilèges, notre jeu de la nuit du 4 août


    Datte: 09/01/2018, Catégories: fh, grp, hplusag, fplusag, jeunes, vacances, campagne, voyage, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, massage, jeu,

    ... cause des courbatures, j’avais mal aux mollets, aux cuisses et aux épaules. Julien a prétendu que j’aurais dû me frictionner la veille avec des huiles essentielles. Il était bien temps d’en parler ! Vaille que vaille, j’ai fait comme les autres ce matin-là, et aussi les matins suivants. L’après-midi David me tripotait, sous prétexte d’huiles essentielles. Julien en avait tout un stock, il avait commencé par faire mine de me frictionner lui-même mais Isabelle, jalouse, l’en avait empêché. Elle avait attrapé un coup de soleil sur le nez, c’était bien fait pour elle. David partait de mes chevilles, remontait jusqu’à mes cuisses et glissait ses mains sous mon short, et même sous mon slip. Il s’intéressait aussi à mes épaules, que le sac à dos avait mis à rude épreuve. Il en profitait pour me peloter les seins. Tout cela faisait bander mon cher et tendre mais il restait sur sa faim et moi aussi, à cause des autres jamais bien loin. Les nuits étaient monacales, par la force des choses, dans ces refuges à la con. Ah, il y a eu l’épisode Nicolas, avant-hier ! Nous sommes arrivés tard, le gîte était occupé en totalité mais le responsable, un fermier, nous a dit qu’il restait la grange. Virginie a proclamé que ce serait merveilleux de dormir dans le foin. Je suis allée y déposer mon sac. Il y faisait sombre. Nicolas est venu me rejoindre. — Tu fais la gueule, Sophie.— Oh, fiche-moi la paix, Nico.— Sophie, on a encore deux jours à vivre ensemble, il faut que chacun y mette un peu du ...
    ... sien sinon ça sera pas drôle du tout.— J’ai mal aux pieds !— J’ai une crème relaxante, je vais en mettre sur tes pauvres petits pieds.— Elle est où, Delphine ?— Partie plus bas dans le village acheter des fruits. Je me suis assise, le dos contre le mur. — Ma pauvre Sophie, t’es crevée. Bouge pas, je vais te débarrasser de tes chaussures.— Mes pieds doivent puer la sueur.— Pas du tout ! Et même je peux te dire que j’adore ton odeur. À genoux, ses fesses sur ses talons, il a massé mes "pauvres petits pieds". Ma foi, c’était plutôt agréable. Il m’a palpé longuement les chevilles, la plante des pieds, puis les orteils, un à un. Et de nouveau les chevilles. Et encore les orteils. Il pelotait mes petons ! Par l’échancrure de son short je voyais bien qu’il bandait. Il ne devait pas compter me sauter tout de suite, quand même, n’importe qui pouvait y venir, dans cette grange, et Delphine allait bientôt rappliquer avec ses fruits. Quand il a délaissé mes pieds pour remonter à mes genoux je n’ai pas été surprise. — Tu es chatouilleuse, Sophie ?— Eh bien, quand on me caresse les genoux, comme ça…— Ça te plaît ?— Je mentirais si je disais que c’est désagréable.— Tant mieux. Tant mieux si ça te plaît, Sophie. Il atteignit mes cuisses, puis redescendit. Remonta les mains sous mon short, jusqu’à la lisière de mon slip. Passa les doigts dessus et s’en alla trop vite, pour recommencer à me tripoter les pieds. Ça me foutait des frissons partout ! Puis il a descendu son short et son boxer et, sans ...
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