1. La stagiaire


    Datte: 10/01/2018, Catégories: ff, religion, fsoumise, fdomine, humilié(e), chantage, Masturbation attache, gifle,

    ... frustrée, tremblante de désir… « Voyez dans quel état vous vous mettez, vous n’êtes pas capable de résister à la tentation. Monsieur le directeur en sera informé dès demain. En attendant donnez moi vos bras. Non pas devant. Derrière le dos. Comme ça. » Et avant que je ne comprenne ce qui m’arrivait, je sentis une paire de menottes se refermer sur mes poignets. J’étais désormais prisonnière, les mains liées derrière le dos, avec toujours ce désir qui me brûlait le ventre. Sophie devint alors plus douce, presque tendre. Elle m’aida à me glisser dans les draps, et borda ma couverture. Ses mains s’attardèrent sur mon corps allongé sans défense, et exercèrent, à travers le drap, une pression insistante à l’endroit de mon sexe, au point de m’arracher un gémissement. Mais bien vite elle se retira, et me souhaita le bonsoir, en m’offrant son premier sourire. Ma nuit fut loin d’être paisible. Je mis un temps fou à m’endormir, j’étais trop excitée, et dans l’impossibilité ou j’étais de m’apaiser, le sommeil tarda à venir. Je me tortillais dans les draps, essayant vainement de frotter ma vulve enfiévrée, mais sans parvenir à autre chose qu’a m’énerver encore davantage… Les menottes, c’est vraiment efficace pour rester chaste ! Lendemain dimanche, pas de grâce matinée pour la pauvre stagiaire punie que je suis. Réveil à 7 h . Sophie, déjà prête m’entraîne sous la douche, sans me retirer les menottes « par prudence… » précise t elle. L’eau tiède me réveille tout a fait, mais comme je ...
    ... n’ai pas l’usage de mes mains, c’est Sophie qui me savonne consciencieusement, insistant un peu trop sur mes seins et mon pubis, ravivant, s’il en était besoin, le désir qui ne ma pas quitté de la nuit. « Et vous n’avez rien à vous mettre pour aller à la messe tout à l’heure… » fit elle songeuse. « Mais si, mademoiselle, il me reste des vêtements… » « Oui, des tenues toutes plus indécentes les unes que les autres. Mais venez, je crois avoir ce qu’il vous faut… » Elle m’entraîna, toujours nue et menottées, dans sa chambre. Elle fouilla dans un tiroir, pour en sortir finalement une robe blanche. Bon, me dis je, ainsi je serais convenable. Sophie me retira les menottes, et je me mis en demeure d’enfiler la robe, à même la peau. Evidement sans sous vêtements, puisque ceux ci m’avaient été confisqué. Horreur ! Mais…mais oui, c’est une robe moulante, à demi transparente, fendue sur un coté…ce n’est pas possible de porter ça, pas ici ! « Mademoiselle, vous ne croyez vous pas que…enfin cette robe…est un peu trop transparente…je veux dire…et étroite… ? » Le tissu, effectivement très léger, collait sur ma peau, révélant aux regards ma poitrine et la pointe tendue de mes seins excités. J’étais plus que gênée par l’image que me renvoyait son armoire à glace. Sophie m’avait prêtée en fait, une robe très provocante, rien a voir avec la tenue sage qui était exigée ici. Elle semblait très amusée de mon embarras. « Mais si Anne, cela vous va très bien. Tenez vous bien droite. Marchez ! Baissez ...
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