1. La stagiaire


    Datte: 10/01/2018, Catégories: ff, religion, fsoumise, fdomine, humilié(e), chantage, Masturbation attache, gifle,

    ... vous ! levez les bras ! C’est parfait. » conclut elle. « Et maintenant dépêchez vous, la messe est dans une demi heure, et vous devez de nouveau vous confesser » Je me retrouvai donc une nouvelle fois dans l’obscurité du confessionnal pour avouer les désirs troubles et les caresses que j’avais tentée de me donner la veille. Je fus sévèrement réprimandé par l’aumônier, qui m’infligea comme pénitence, d’assister à la messe à genoux, bras en croix, du début à la fin. De nouveaux sous l’influence de l’aphrodisiaque que Sophie m’a fait prendre au lever, j’ai assistée à l’office le corps en feu…Le pire à été la communion, quand il m’a fallut remonter l’allée centrale à genoux, dans cette robe à la limite de l’indécence, sous les regards de tout le pensionnat, et sous celui particulièrement inflexible du directeur. Après une heure et demi, mes genoux était dans un triste état. J’étais constamment tendue, et malgré mes efforts, nul ne put ignorer, quand je me relevais pour communier, que j’étais nue sous cette robe qui me serrait trop. Quelle honte ! A midi, c’est à quatre pattes sur le carrelage du réfectoire que j’ai du manger mon quignon de pain dur et bu mon verre d’eau, avec toujours bien sur les deux gélules. J’étais la cible des quolibets et moqueries des collégiennes, et du regard méprisant des autres éducatrices. Puis Sophie m’entraîna dans ma chambre, ou je dus attendre sous sa surveillance la visite du directeur. « J’ai appris vos frasques, mademoiselle, dit il en ...
    ... arrivant. Nous allons donc user avec vous de la plus extrême sévérité, n’est ce pas Sophie ? » « Oui monsieur le directeur, je n’ai encore jamais vu une vicieuse pareille » renchéris la jeune femme. Je tentais de m’expliquer à mi voix, les yeux baissés. « Monsieur le directeur…vous savez…avec les gélules que je prends…six par jour…je me sens constamment excitée…c’est dur alors d’être vraiment sage tout le temps…j’ai beau essayer…il faudrait diminuer mes doses…peut être les arrêter…je vous promets de mieux me tenir… » « Vous êtes lamentable ma pauvre petite. Vous n’avez aucune volonté. Et bien puisqu’il en est ainsi, nous allons employer les grands moyens, n’est-ce pas Sophie ? » « Oui, monsieur le directeur, c’est nécessaire » « Donc demain à 7 h 30, vous emmènerez cette jeune débauchée à l’infirmerie. Vous veillerez à ce que la pause soit parfaite. Nous serons plus tranquille » « Oui, monsieur le directeur, comptez sur moi. » Il tourna les talons sans même m’accorder un regard. J’étais intriguée par les derniers propos du directeur. Qu’avait il voulu dire par « que la pause soit parfaite » ? J’aurais voulu poser la question à Sophie, mais elle ne m’en laissa pas le temps. « Anne, je vais être obligée de vous ligoter, pour cet après midi » « Me ligoter…mais… » « Oui, je vais aller au cinéma avec mes amies, et vous savez bien qu’on ne peut pas avoir confiance en vous. Passez moi les sangles qui sont dans le tiroir, là en bas…merci » J’avais maintenant pris l’habitude de lui obéir ...
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