1. La stagiaire


    Datte: 10/01/2018, Catégories: ff, religion, fsoumise, fdomine, humilié(e), chantage, Masturbation attache, gifle,

    ... passivement, et lui tendit les sangles demandée, en nylon noir d’un cm de large, du genre de celles qu’on utilise pour fermer les sac à dos. Aussitôt, Sophie entreprit de m’immobiliser, d’abord les bras ramenés derrière le dos, puis en passant entre les seins, puis en dessus et en dessous pour les comprimer en les rendant durs, volumineux, et encore plus sensibles. Elle poursuivit ensuite en étranglant plusieurs fois ma taille très fortement et en passant une sangle entre mes cuisses, comprimant le ventre et surtout le sexe qui se trouvait ainsi écrasé…Et pour finir, elle écarta mes cuisses, me liant les chevilles aux pieds du lit. J’étais à genoux, totalement immobilisée, dans l’incapacité absolue d’esquisser le moindre mouvement. Sophie ne m’avait pas enlevée ma robe, se contentant de m’attacher par dessus. Ainsi, m’avait elle dit, les liens ne sont pas au contact de la peau ce qui permet de serrer plus fort sans risque de blessure. Toutefois, elle souhaitait que mes seins soient exposés, et elle ouvrit le décolleté pour les faire apparaître. Elle se recula pour juger de son travail. « Parfait, dit elle, maintenant je vais appeler mes amies, pour avoir leur avis. Vous ne vous étonnerez pas, Anne, si elles vous caressent. Vous êtes très désirable ainsi. » J’étais surtout brûlante d’excitation . Cette séance de « bondage » (j’ignorais ce terme, mais Sophie me l’expliqua) agrémenté d’attouchements aux endroits sensibles, m’avait tellement stimulée que j’en étais presque ...
    ... rendue folle. Et maintenant, voici que l’on me promettait de nouvelles caresses… « Mademoiselle, suppliai je, pourquoi suis ainsi tourmentée ? Je suis simplement venue faire un stage, indispensable pour mon diplôme, et je suis traitée pire qu’une pensionnaire ? Qu’ai je fait pour mériter ça ? » Sophie me dévisagea en silence. Depuis que j’étais à sa merci, elle était devenue plus douce, presque gentille. Elle m’appelait par mon prénom, et j’étais sensible à cet égard. Je sentais qu’elle allait me répondre quand la porte s’ouvrit, et ses deux copines entrèrent. C’était deux jeunes femmes du même âge que Sophie, très jolies. Je les avais remarqué suivant assidûment la messe ce matin. Mais elles avaient changé de tenue. Elle portaient des mini robes, et l’une, qui s’appelait Marie, avait même les épaules nues. Après m’avoir contemplé, elles félicitèrent Sophie. « Tu l’as bien réussie » fit Marie « On a vraiment envie de la torturer » ajouta la seconde, qui s’appelait Carole. Et joignant le geste à la parole, elle commença à me pincer le bout des seins. Je résistais vaillamment quelques instants, mais elle augmenta sa torsion, et je la suppliai d’arrêter . « Tais toi sale gamine, c’est Sophie qui décide » fit elle rudement. Du regard j’implorai Sophie. Elle prit son temps avant de demander gentiment à Carole de me laisser tranquille. « Tu lui as expliqué ? demanda Marie « J’allai le faire quand vous etes arrivé, répondit Sophie. » « Bon, fit elle en me regardant, écoute bien, je ne ...
«12...6789»