Ma colocataire (9)
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
Lesbienne
... d’avoir frotté contre les cuisses. Le sexe de Magalie béait ; ses muqueuses gonflées avaient viré au rouge, elles étaient bien visibles entre les petites lèvres ouvertes. Son vagin se contracta, expulsant un dernier filet de mouille. Je me suis agenouillée, j’ai passé ma langue sur le visage de Jessica. Des gouttes de sueur perlaient sur ses tempes, d’autres étaient accrochées aux poils de son pubis ; l’une d’elles descendait le long de la petite ficelle bleue, — Ça va, dis-je ? Elle hocha la tête, se releva. Je la fis asseoir sur ma chaise en lui demandant de nous exhiber son sexe. Elle écarta ses lèvres. Elles étaient assez développées, et surtout, très sombres. Le contraste avec ses chairs roses tapissées d’un voile translucide était saisissant, d’autant que l’on voyait très distinctement l’extrémité du tampon. Un tel objet, au bout d’une ficelle, qui canalisait les écoulements, pouvait donc, lui aussi, être érotique ! J’ai commencé à titiller de la langue la mince ficelle ; j’ai recueilli quelques gouttes, puis j’ai léché le sexe de Jessica. J’avais à peine touché son clitoris de la pointe de ma langue que, sous l’effet d’un orgasme violent, elle referma les jambes, me gardant prisonnière entre ses cuisses. Je pus constater qu’elle mouillait beaucoup en jouissant. Je revins m’asseoir sur le lit pendant que Jessica récupérait. Elle nous regardait toutes les deux, et tout à coup, nous dit : — Merci, c’est encore meilleur que ce que j’avais imaginé ! — Attends, nous ...
... n’avons pas fini, s’écria Magalie. Regarde ce que Laure a dans ses mains. Jessica observa l’engin avec attention. — Ah, vous avez aussi ce genre de chose... Elle marqua un temps d’arrêt puis, l’air gênée : — Aujourd’hui, ce n’est pas possible, j’ai un tampon et... — Je crois que Laure a une autre idée. Il fallut un bon moment à Jessica pour comprendre. Son visage se crispa de stupeur. — Vous voulez vraiment ? Mais c’est sale, c’est... contre nature. — Ni plus ni moins que ce qu’on vient de faire. D’ailleurs, tu n’as pas le choix ! dit Magalie, péremptoire. — Ça va faire mal ? — D’abord, tu ne l’aurais pas volé ! Et il y a d’autres moyens de te faire mal, si on voulait. La fessée, par exemple, ou les coups de ceinture... N’aie pas peur, Laure sait s’y prendre, elle ira doucement. J’ai pris alors Jessica par la main ; je l’ai amenée près de mon lit, lui disant de se coucher sur le ventre. Elle m’obéit. Son postérieur charnu donnait envie de s’y enfouir. J’ai commencé par lui palper les reins, puis les fesses, sans essayer d’atteindre l’objet de ma convoitise. Quand je la sentis détendue, je suivis la courbe qui descendait vers ses cuisses. Tout en la caressant, j’admirais ses formes ; Jessica avait incontestablement un beau cul. J’ai tenté alors une manœuvre d’approche en glissant ma main entre ses cuisses, puis la faisant remonter. Non seulement, Jessica se laissa faire, mais elle écarta les jambes, découvrant son anus. Magalie, qui me regardait faire, se masturbait de manière ...