IP, IP, IP, Hourra ! IPV3
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
fsoumise,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... sens que je bande, rien que de ce moment. J’adore la façon dont elle fait glisser les manches sur ses bras, provoquant la chute du tissu à ses pieds. Je remarque qu’elle porte des hauts talons. J’adore la façon dont elle enjambe le tissu, se rapprochant ainsi de moi. Tout est en noir. Ce n’est pas du tout la lingerie de pute avec ses fentes improbables, mais c’est autre chose. Un soutien-gorge qui porte bien le nom de « soutien », car il n’est que « demi ». Demi-corbeilles sur lesquelles les deux lobes se reposent. Des lobes magnifiques de blancheur encore plus marquée par le noir de la dentelle et le rose des tétons qui pointent. La culotte est comme celles de maintenant. Fini, le string minimaliste. À nous les « tangas » qui habillent les hanches mais conservent la légèreté au niveau de l’intimité féminine. La dentelle s’affirme autour des hanches. Le reste est réduit à une bande qu’on imagine disparaître dans la chatte dès qu’on oublie de la regarder. Ma femme est belle. Pulpeuse. Ses formes tout en rondeur attirent le regard. — Cela te plaît ?— Magnifique. Approche. En temps normal, c’est moi qui me serais jeté sur elle, mais je m’essaie à une attitude plus spectatrice. Elle fait les derniers pas. Elle se penche sur moi. Ses lèvres effleurent les miennes. Elle sent bon. Un parfum envoûtant, une touche de violette sur ses lèvres comme la promesse d’une pâtisserie. Mais elle ne s’attarde pas ; elle monte un peu, portant vers ma bouche ses lobes magnifiques et surtout ses ...
... tétons que je ne peux que sucer et titiller de mes lèvres. Elle redescend. Nos regards se croisent. J’y découvre une lueur inhabituelle que les circonstances me font identifier comme de l’envie. Elle continue. Arrivée à ma ceinture, elle se redresse. La voici debout devant moi. Ses prunelles brillent de la flamme des bougies. Dieu, qu’il serait facile d’y trouver de la lubricité ! Pendant qu’elle fléchit les genoux, elle continue de me regarder. C’est ainsi que font les amantes, les maîtresses, les putes qui connaissent les ressorts des fantasmes masculins. Pourtant, c’est ma femme. Ma femme. Mon épouse. Séverine. La pute d’Arnaud ! Laquelle tire sur ma ceinture ? Laquelle fait glisser le zip de ma braguette ? Laquelle tire sur mon pantalon ? Laquelle soulève l’élastique de mon slip afin d’en dégager ma queue déjà tendue ? Un visage qui avance. Une bouche qui s’ouvre. Une langue qui pointe. Elle me gobe. Ses mains se glissent sous ma chemise et me caressent le ventre, remontant jusqu’au torse. C’est con, mais cette simple caresse, inhabituelle, signe le changement de ma femme. Jamais elle ne m’a caressé ainsi. Plutôt passive. Jamais – ou très rarement – elle ne m’a caressé les fesses alors qu’elle me suçait ou que je la possédais. Elle me suce. Gourmande, elle enveloppe ma tige. Mes bourses deviennent des bonbons. C’est différent. Plus entreprenante. Plus généreuse. Plus, plus, plus… à moins que ce ne soit mon imagination. Mais qu’importe, c’est si bon ! La pute d’Arnaud me ...