1. Hélène 9 : Pierre


    Datte: 12/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Hélène 9 : Pierre. Contrairement à ce que les épisodes précédents pourraient laisser penser, nous sommes un couple bourgeois, voire petit-bourgeois Le samedi soir est réservé à nos « exploits ». En revanche, le dimanche et surtout le dimanche matin est réservé à une forme plus tendre et plus câline de l’amour Mon compagnon se lève régulièrement plus tôt que moi, et s’occupe de l’intendance. Puis, à mon réveil, il revient dans notre couche pour un doux moment de « calinitude ». Je me colle contre lui et nous parlons de tout et de rien, en prenant un petit déjeuner au lit, en amoureux. Ce jour, je me suis installée, bien lovée dans ses bras, mon sein gauche enpaumé dans sa main droite, le mamelon pincé entre le pouce et l’index, prêt à subir toutes les agaceries. C’est aussi le moment de toutes les confidences. Je suis en train de croquer un croissant quand je lance, - Ça t’es venu comment, ce goût de flageller les femmes. - Pas « les femmes », te flageller toi. Tu as un cul qui attire les lanières. - Ne répond pas à côté de la question, comment ? - J’ai moi-même été de l’autre côté du manche. Lâche –t’il Un ange passe. Ma main s’est crispée, émiettant le croissant dans le lit. - Comment ? - C’est une vielle histoire ? - S’il te plait. - J’étais un jeune homme….. J’étais un jeune homme, très jeune homme, c’était l’année d’avant le bac. La mère divorcée de mon copain Eric était une belle femme, très longiligne, des traits fins, un sourire carnassier, une chevelure noire très ...
    ... courte. Elle sentait très bon. Par hasard, je me suis aperçu qu’elle portait des bas. Je suis tombé amoureux. Je lui ai fait la cour la plus godiche qui soit. Un jour, je suis passé chez elle, je savais que mon copain était absent, chez son père. Elle m’a fait entrer, me proposant un thé. Nous avons bavardé, j’ai essayé de la séduire. Elle m’a cédé. Nous avons fait l’amour tout l’après-midi. D’autres fois ont suivi. Nous baisions aussi souvent que nous le pouvions. J’étais plutôt rustique, elle m’a dégrossie. Elle était très directive, voire exigeante. Elle me faisait faire des trucs que je trouvais incroyables. Elle a fait mon éducation sensuelle. Un jour, j’ai eu une panne, Elle a proposé de me « stimuler » avec un martinet. Je me suis laissé faire. Comme elle m’épuisait, elle a été forcée de renouveler cette séance. Progressivement, nos relations ont changé. Elle ne m’accordait ses faveurs que si j’acceptais ses exigences. Je ne pouvais plus me passer d’elle. J’étais accroc. Parfois même nos rencontres ne se limitaient qu’à la séance de flagellation. Elle tapait de plus en plus fort. Elle voulait me faire souffrir. Mais un jour, alors qu’elle m’intimait de m’agenouiller, j’ai répondu non. Quelque chose en moi s‘était rebellé. Je ne voulais plus avoir mal, ou tout simplement, je ne l’aimais plus. Quelque chose s’était cassée. Mon refus l’a excédée, son visage était déformé par la colère. Elle a lancé son coup vers ma figure, en pleine face. J’ai bloqué son bras, mais, à cause ...
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