Hélène 9 : Pierre
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... semble même en meilleur forme que d’habitude. Il est splendide, sa tige s’est gonflée de sang, son pyramidion s’est décalotté sous l’effet de l’érection. J’empaume ses fesses et je le tire à moi. Sous mes doigts, je sens les boursouflures de ses cicatrices. Je l’embouche. La peau de son gland est douce comme une pèche. J’enroule ma langue autour, je le suce comme si c’était un sucre d’orge. J’essaie de l’enfourner en entier, ma bouche s’empale sur son pieu magnifique. - Tes mains dans le dos. Il garde les siennes sur la barre, nous nous aimons au travers de cet étrange baiser. Je me sens comme une Marie Madeleine blasphématoire aux genoux d’un crucifié. Je m’exécute et je reprends ma fellation. Je m’applique. Son souffle s’accélère, je sens les pulsations de son plaisir qui monte, j’agace son frein tendu à craquer avec ma langue. Je pose mes lèvres juste sur son méat et je l’aspire. Il se tend, forçant ma mâchoire, j’ai le nez dans sa fourrure. Il part avec un jet épais et puissant. Je fais tourner son délicieux sperme dans ma bouche , pour profiter de son gout légèrement salée, je l’avale comme si c’était de la crème chantilly. Il s’apaise, souffle un grand coup. Il lâche la barre, se penche vers moi et me relève. Il m’étreint, me serre. C’est trop bon, je craque, je pleure. Enlacés, nous glissons vers le lit. Je le couche et rabat la couette. Je peux enfin le cocooner comme lui le fait avec moi. Je me sens heureuse dans le rôle d’une amante maternelle. Je fais couler le ...
... bain et descend à la cuisine. Je remonte avec de quoi piqueniquer : mezzés, blinis, quelques légumes crus, saumon, et champagne. - Tu peux me mettre un peu de pommade, mon amour. Me demande-t-il en se retournant à plat ventre. - D’abord le bain. J’entraine mon bonhomme jusqu’à la baignoire. En un instant, je me souviens de la première fois que je me suis baignée avec lui. Mais aujourd’hui, c’est moi qui le dorlote, qui vais le poupougner. Je le savonne, je le rince, je le touche, je le caresse. Je me lave et m’essuie à la va-vite. Je l’allonge sur notre lit. Je suis heureuse, il est en mon pouvoir, il est à moi, c’est ma chose, mon bébé. Je vais enfin pouvoir le materner, le chouchouter. Dans la table de nuit, je trouve l’onguent émollient qui m’est habituellement réservé. Je presse le tube et j’en dépose une noix sur chaque fesse. Je le masse doucement, mais son cul est incroyablement dur, tendu, crispé. Je me penche et je le caresse de ma chevelure. Puis j’écarte les deux pommes. Je l’embrasse, je lèche son troisième œil, son muscle palpite. Je le force de ma langue et je m’introduis dans son œillet, je m’agite doucement en lui. Un soupir d’aise me répond. Ma première feuille de rose ! Il se relâche. C’est la première fois qu’il s’abandonne autant. Je découvre le plaisir de prodiguer cette caresse que j’apprécie tant. Mais je dois abandonner cet orifice pour reprendre mes soins. Je finis de le pétrir pour faire pénétrer la crème. Il se retourne, son beau membre en travers de ...