Hélène 9 : Pierre
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... l’aine. La cicatrice a pris un ton bleuâtre, jaune à la bordure. Sur son visage, ma marque a cessé de saigner. Il est temps de s’en occuper. Je le nettoie en le tamponnant avec une solution désinfectante. Il étouffe des petits « Aie, Aie ». - Ne sois pas douillet, s’il te plait, tu n’es plus un petit garçon... Je me penche vers lui pour coller deux steristrips sur sa pommette, mais le coquin en profite pour s’emparer d’un de mes seins. - Monsieur, je vous prie de ne pas tripoter votre infirmière. - Madame, je pelote qui je veux. Et il serait temps que vous vous occupiez de mon membre avant qu’il soit nécessaire de l’amputer. Je pose les yeux sur l’objet cité. Effectivement ce serait dommage d’opérer. Il est visiblement revenu au mieux de sa forme. Mais j’ai peur que l’application par massage manuel soit douloureuse pour cette verge tendue et hypersensible. Comment faire pour manipuler ce précieux et si fragile engin ? J’ai comme un éclair. Je pose une lichette de crème de chaque côté de la verge, je jette mon déshabillé à la tête de mon chéri. Je coince le dard de mon seigneur entre mes deux seins et j’entame un mouvement vertical pour répartir le liniment. En quelque sorte, je lui administre une branlette espagnole curative. Je lève les yeux, visiblement ma thérapie poupoutesque le met aux anges, surtout que je l’accompagne d’un coup de langue ou d’une succion chaque fois que le gland apparait au milieu de ma masse mammaire. Il se laisse faire. Il s’abandonne à moi. Sans ...
... le lâcher, je pivote autour du dard turgescent et me met à cheval au-dessus de mon patient pour lui offrir ma croupe opulente. Il l’attire en arrière, pose sa bouche sur mon oignon, et entreprend de le déguster. Il me l’humecte, la mouille, mordille le bourrelet et quand je suis bien assouplie, il m’encule de sa langue. Ma caresse favorite, je fonds. Je lâche ma poitrine abondante et je le prends en bouche. Embrochée devant, embrochée derrière. Il se faufile sous moi, et abandonne ma rosette pour s’occuper de mon con. Il aspire mon sexe, il le mâchouille, sa langue m’explore. Il broute mes lèvres. De mon côté, je m’active. Nous essayons de faire jouir l’autre le premier. Ah le petit voyou !!!! Il vient d’atteindre mon bouton, il me le râpe de sa langue, je vais partir avant lui. Tant pis, je triche, je mouille mon majeur et je le plante dans son anus. Gagné !!! Il se raidit, se cabre dans ma bouche, Il presse mes fesses pour me plaquer ma moule sur son visage. Je sens entre mes lèvres les pulsations de son vit, puis le jet puissant de son éjaculation se déverse, j’en ai plein la bouche. Mais, ce mauvais joueur mord mon bourgeon, pas très fort, mais juste ce qu’il faut. J’ai à peine le temps de déglutir que la vague me submerge. Je me cambre et je m’abats. Quand nous reprenons nos esprits, nous sommes couchés sur le côté, vice-versa, sa tête posée sur ma cuisse confortable et moi la chevelure étendue sur son vit. Je me lèche les babines comme une grosse chatte qui récupère les ...