1. La lune noire en taureau - Chapitre II Jane


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... gourmande de Jules. Bien plus qu’une cerise sur le gâteau, bien plus qu’une friandise, c’était un magnum soyeux au nectar débordant qui m’attendait. J’allais me délecter devant toi, te montrer à quel point j’aimais la découverte d’un dessert qui n’était pas le tien. C’était la première fois, et je voulais profiter pleinement de ce nouveau goût. Je te regardais à nouveau et tu as lu dans mes pensées. Je fis étendre Jules sur le dos et me mettais à genoux à ses pieds. Un magnifique aiguillon d’une vingtaine de centimètre se dressait devant moi. Les deux aumônières de Jules étaient gonflées, tendues, et donc prometteuses. Mes mains se posaient sur chacune des cuisses de Jules. D’un mouvement lent, je les remontais vers son torse, faisant ainsi basculer ma tête vers ma convoitise. J’ouvris ma bouche, et je fis pénétrer son pieu au plus profond de ma gorge. Jules gémit de plaisir. En revenant sur la pointe turgescente de son dard, le bassin de Jules se souleva pour que ma bouche l’enveloppe à nouveau. Il était à ma merci. Je le sentais déjà proche de la jouissance. Le bout de ma langue détecta un petit goût salé évadé de l’ouverture de son dard. Il va et vient dans ma bouche, ses mains arrimées à ma ta tête. J’entends ses râles. Il sait que j’aime et je lui prouve par des sussions goulues et des « va et vient » frénétiques. Une onde de plaisir me traverse. Je veux maintenant le boire, le sentir jouir dans ma bouche, me délecter de sa semence. Une de mes mains caresse ses ...
    ... fesses, l'autre s’aventure sur ses doux réservoirs si proches de l'explosion. Son ventre se contracte, ses cuisses sont secouées par les spasmes de plaisirs. Des jets chauds et puissants jaillissent. J’ai l’impression que la source ne se tarît pas. Je bois son délicieux breuvage au goût différent du tien. Il dégage un parfum de marronnier en fleurs. Je me sens coquine, canaille, polissonne et sans crier gare un orgasme me submerge à nouveau. Je ne veux rien laisser de ce succulent met, je nettoie jusqu’à la dernière goutte. J’éprouve une forme de sérénité, une confiance en moi encore insoupçonnée. J’entends la porte du séjour s’ouvrir. « C’est moi ! Tout va bien ? - Je m’entends dire avec aplomb, tout va bien mon chéri, Jules est un excellent masseur. - Ah oui ? - Je n’ai plus mal au dos ! » Jules repris ses esprits et se rhabillât rapidement. Avant de descendre, il posa ses lèvres sur les miennes, puis murmura à mon oreille : « Je ne veux pas partir avant de t’avoir possédée coquine, tu ne pourras pas échapper à la jouissance de mes assauts. ». Les propos de Jim déclenchèrent une inondation. Mon Dieu, je devenais nymphomane ! Je descendis quelques minutes plus tard, quand tu proposas de te rendre à Barre des Cévennes et déposer les affaires de Jules à la chambre d’hôte. Avant de partir, ton regard lumineux en disait long sur l’amour que tu me portais. J’en éprouvais une douce émotion. Je me mis à la préparation du dîner. Les hommes revinrent et nous prîmes l’apéritif. L’ambiance ...
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