La lune noire en taureau - Chapitre II Jane
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... présence au fond de moi. Ses yeux ne lâchaient pas les miens. Je me sentais déshabillée. Une bouffée de chaleur m’envahit, je devais rougir, je baisse le regard. Une douce humidité envahissait mon sexe. J’étais excité par cet homme qui avait réussi à me mettre en tension. « Connaissez-vous l’histoire de cette femme qui part en croisière et qui sauve 300 vies, lança Jules ? - Non ? - C’est une femme qui part en croisière et qui tient son journal de bord. Vendredi : Une folie m'a prise, je me suis acheté un billet pour une croisière d'une semaine en paquebot, nous partons demain! Samedi : Ça y est, nous avons embarqué sur ce magnifique navire, beau temps, mer calme. Dimanche : Fabuleux paysages! Par ailleurs, le commandant m'a invité à dîner à sa table et s'est montré très prévenant à mon égard. Lundi : Nouvelle invitation du commandant. Toujours aussi prévenant, mais j'ai un doute, il a voulu me faire visiter sa cabine. Mardi : Je n'ai plus de doutes quant à ses intentions libidineuses! Il devient même de plus en plus pressant! Mercredi : Cet homme est obsédé! Il m'a menacé de saborder le navire si je continuais de refuser ses avances. Jeudi : J'ai sauvé la vie de ... » J’essayais de garder le contrôle, mais l’idée que cette femme puisse se donner à un homme, de guerre lasse, m’excita plus encore. Finalement, la coquine avait dû en tirer un plaisant bénéfice. « C’est ce qui s’appelle joindre l’utile à l’agréable, m’esclaffais-je tout en faisant mine de contenir un rire, les ...
... femmes sont prêtes à tout donner pour de grande cause ! - Et pour quelle grande cause te donnerais-tu ma chérie, tu me demandas ? - Et bien toi mon chéri, répliquais-je, je suis prête à tout pour toi ! ». Jules me déshabillait du regard régulièrement. Il profita du moment de la vaisselle pour me frôler, toucher ma nuque, il me prit même par la taille le plus naturellement pour m’aider à me relever. J’étais en feu… Peu de temps après, nous faisions la sieste. J’étais tournée vers Jules. J’avais une vue imprenable sur le haut de son jean. Yeux mi-clos, je me mis à rêver de ce qu’il contenait : long, ferme, soyeux, luisant, des réservoirs bien remplis, l’expression de la puissance masculine. Et curieusement, le jean se mît à gonfler, laissant augurer un outil de belle taille. Je pinçais ta main et d’un regard subtil, je te faisais découvrir l’objet du délit. J’avais besoin de sentir la raideur d’un sexe d’homme. Je plongeais ma main dans ton short. Oh ! Surprise ! Il était dans le même état que celui de Jules. Me voilà bien, pensais-je. Deux incendies à éteindre. Je te caressais doucement, sans pour autant déclencher l’explosion finale… Tu dis qu’il ne fallait plus tarder si nous voulions rentrer pour notre séance quotidienne de Jacuzzi. Nous nous remîmes en route. J’étais comme hypnotisée par la situation et ce beau mâle. Tout en marchant, me revenait ton fantasme, où je jouissais avec un autre homme sous ta vue. Le fantasme m’excitait, mais de là à passer aux actes…Quoique ! ...