1. Hautefort au mois d'août. (3)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le plaisir de lui confirmer l’effet que ses mots ont sur moi. 04h16 Nouvelles vibrations. J’entrouvre un œil. "Ton silence parle pour toi. Je me suis laissé emporter. Je suis désolé." Un sourire se dessine sur mon visage. Je me rendors aussitôt. 11h00 Je me lève. Il fait déjà très chaud. J’enfile vite un maillot, une robe de plage et me dirige vers la piscine. J’y trouve Céline allongée sous un parasol en train de bouquiner. Il est là aussi, juste à coté d’elle et s’adonne à la même occupation. Elle redresse la tête et m’offre un sourire éclatant contrastant avec le caramel de sa peau. — "Bonjour les amoureux ! lancé-je à la cantonade. — Salut toi, bien dormi ? me répond Céline. Il ne bouge pas d’un iota. Il m’ignore royalement. La colère me fait serrer la mâchoire. Je la contiens. — Oh oui ! Presque trop ! mens-je. Je quitte ma robe, le soleil mord ma peau, une sensation de bien être m’envahit. Je m’étire, me cambre dans l’espoir d’attirer son attention. Peine perdue, je ne monopolise que celle de Céline. — Dis-moi Céline, est ce que tu pourrais me passer de la crème dans le dos s’il te plait ? — Bien entendu, viens par ici ! s’exclame-t-elle avec enthousiasme en tapotant sa serviette." Je m’assieds sur sa chaise longue, le bas de mes reins effleure son ventre rond. Elle retire sa capeline et ébouriffe ses cheveux. Le parfum douceâtre du monoï chatouille mes narines. Je relève les miens en chignon rapide et lui tends le flacon. Je l’entends réchauffer vigoureusement la ...
    ... crème épaisse entre ses paumes avant de l’étaler sur mes épaules. Ses mains semblent aussi fines que les miennes, très douces, elles glissent sur ma peau. Ses gestes sont lents et amples. Elle s’applique, suit ma nuque, ma colonne vertébrale et atteint mes omoplates. Je ferme les yeux et l’imagine embrassant mon cou, caressant mes seins, léchant mon ventre ardemment... Sa voix à peine rauque interrompt agréablement ma rêverie naissante: — "Tu vas avoir de vilaines traces de bronzage si tu gardes ton haut de maillot. C’est dommage. — Oui je sais bien. Regarde ça se voit déjà un peu. Je me retourne et soulève légèrement le bonnet de mon maillot pour lui montrer la peau laiteuse de mon petit sein rond et ferme. Je crois bien que ses prunelles noisette brillent plus qu’à l’accoutumée. Je l’abaisse d’avantage, mon aréole rose tendre apparait. J’espère qu’il n’en perd pas une miette. — Tu devrais l’enlever, on est entre nous, m’encourage-t-elle. — Tu crois ? dis-je faussement hésitante. Oui tu as raison. Tu peux le dégrafer s’il te plait ?" Elle vient à bout de la fermeture avec dextérité. La petite pièce de lycra tombe sur mes genoux. Mes tétons pointent éhontément. Elle continue son massage jusqu’à la naissance de mes fesses. — "Tu veux bien te retourner ? " Sa proposition ne m’étonne qu’à moitié mais me trouble tout de même. Je fais volte face et m’assois en tailleur face à elle. Je bénis silencieusement mes lunettes de soleil de dissimuler mon émoi. De nouveau elle frictionne ses ...