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Hautefort au mois d'août. (3)
Datte: 13/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... mains l’une contre l’autre avant de les poser avec beaucoup de délicatesse sur ma poitrine. Je dégage doucement mes épaules vers l’arrière, me redresse un peu et me laisse faire. Lentement elle enduit mes seins de crème. La pulpe de ses doigts agace mes tétons déjà drus. Il me semble qu’elle s’y attarde plus qu’il ne faudrait. Elle les presse même un peu l’air de rien. Je ferme les yeux et goûte mon plaisir naissant. De nouveau mes pensées vagabondent. Soudain, un livre tombe bruyamment au sol. Nous sursautons toutes les deux. Il est assis de trois quarts, dans le dos de sa femme. L’expression de son regard posé sur moi trahit à nouveau sa hargne. Il se lève d’un bond et plonge dans la piscine avec fracas. Céline lève les yeux au ciel et soupire puis reprend son massage mais évite ma poitrine. Il a rompu le charme ambigu et fragile de cet instant. Je dépose un baiser léger sur sa joue gauche en guise de remerciement, ôte mes lunettes et plonge à mon tour. Je me laisse glisser sous l’eau un long moment avant de commencer à nager en surface. En me retournant j’aperçois Céline s’éloigner. — "Je vais me laver les mains. Soyez sages ! nous lance-t-elle. Dès qu’elle est hors de vue, il interrompt ma longueur en me barrant le chemin: - On peut savoir à quoi tu joues ?! siffle-t-il entre ses dents. — Pourquoi es tu si énervé ? C’est ridicule ! — Ridicule ?! Et ça ? C’est ridicule ça ?! Il attrape alors fermement mon poignet gracile et fourre ma main dans son short. Je reste ...
... interdite. La violence de son geste est à la hauteur de ma surprise. Ma conscience ne me questionne qu’un instant et mes doigts s’enroulent naturellement autour sa queue terriblement tendue. Je voudrais la voir. Je la sens puissante, brûlante, nerveuse. — Ridicule ? Ce n’est pas le qualificatif auquel je pense non… répondis-je en me mordillant la lèvre inferieure. — Tu ne peux pas m’allumer comme ça, devant ma femme ! — C’est à elle qu’il faut dire ça ! C’est un jeu de dupes ! — Tu ne pourrais pas être docile pour changer bordel ?! Il ne me laisse pas le temps de me défendre. Me tenant toujours par le poignet, il m’entraîne au bord et me plaque contre le liner. — Tu me fais perdre la raison Charlotte. Tu comprends ? " Il ferme les yeux brièvement. La colère fait place à une sorte de résignation. Il m’attire à lui, nos peaux se rencontrent enfin, frissonnent. De façon instinctive je noue mes jambes autour de sa taille. Il me laisse faire. J’en profite pour passer mes bras autour de sa nuque et m’arrime à ses épaules. Ses muscles roulent sous mes doigts. Son souffle est court. Ses mains se cramponnent avec avidité à mes fesses largement laissées nues par mon maillot. Je sens sa queue contre ma chatte et ne peux m’empêcher de me frotter à lui en faisant onduler imperceptiblement mes hanches. Il enfouit son visage dans mon cou, lèche le lobe de mon oreille puis se dégage légèrement pour me faire face. Une mèche mouillée tombe sur son front. Sans me quitter du regard, sa main droite ...