Voyage professionnel
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... engluant les poils, ma main est trempée de jus, du jus brûlant de femelle ; elle me rend fou. — Prends-moi, s’il te plaît, vite…— Tu veux quoi, Marie ?— Te sentir, en moi.— Je n’ai pas bien compris, Marie. Tu veux quoi, et où ?— Oh, tu es si vicieux… Je veux… ta queue ! dit-elle dans un souffle.— Tu veux ma queue, c’est ça ? Tu la veux bien profond ?— Ouiii, profond, loin ; je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu’elle me remplisse… Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusqu’à ses chevilles. Je l’attrape par la taille, l’assois sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. L’agrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le nylon me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle l’ouvre à deux mains. Mes narines s’enivrent de l’odeur qui s’en échappe. Je ne sais plus où porter le regard : ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres. Posant sa main sur mon crâne, elle me plaque la bouche sur ses lèvres molles qui s’écartent sur les muqueuses enflées. Je lèche la fente à l’aveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. J’aspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, ...
... elle doit en avoir autant envie que moi. Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte. — Tu es belle, Marie, terriblement belle et obscène, une merveilleuse femelle. Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière et m’attire sur elle en murmurant d’une voix sourde : — Oh… Tu es vraiment… Viens en moi ! Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, s’enfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est chaud, émettant de petits flots de mouille. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains. — Tu me sens, Marie ?— Ouiii, tu me remplis. Bourre-moi fort, vas-y ! Mais je la trouve trop passive. Pour l’exciter, je lui glisse dans l’oreille : — Ta chatte me suce la bite, Marie, c’est délicieux. Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite s’échappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant d’interminables secousses dans son ventre. À chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents s’entrechoquent, nos langues s’emmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur s’écrasent contre mon torse. Je l’agrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains. — Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?— Oh, quand ...