Initiation d'une jeune fille de 20 ans par une sexagénaire épanouie
Datte: 14/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... vivre avec Gildas, resta interdite. Que voulait dire sa grand-mère ? Qu'elle allait se faire sodomiser ? Elle n'eut pas trop à attendre la suite des événements. Martin était déjà en train de graisser l'anus de Roselyne, cul en l'air face au miroir, qui interpella Gildas : -Prépare la, lèche la. Aussitôt dit, aussitôt fait. Gildas retourna Diane, écarta ses fesses et fourra sa langue dans son petit trou. Elle ressentit un agréable chatouillis qui repoussa son sentiment de révolte initiale. Ainsi donc, cet endroit était très sensible, autant que d'autres parties intimes. Une révélation. Pendant ce temps, Martin s'avançait pine en avant en visant la raie profonde de Roselyne et s'y enfonçait à petit coups précis. Lorsqu'il y fut totalement engagé, la sexagénaire poussa un râle accompagné de propos salaces que Diane préféra ne pas identifier. Les peaux des deux amants claquèrent sous l'effet du coït anal et Diane fut frappée par le visage radieux de sa grand-mère que lui renvoyait le miroir. La langue de Gildas excitait de plus en plus la jeune fille qui commençait à ressentir une forte envie de pénétration. Puis Roselyne cria et ordonna à Martin après ce bref orgasme : - Arrête toi, encule la maintenant. La queue parfaitement lubrifiée, fine et pointue comme un stylet, le grand chauve se déplaça vers Diane, lui releva le bassin après avoir repoussé Gildas, l'installa face au miroir et entreprit une pénétration lente, plus lente qu'avec Roselyne, déjà rompue à l'exercice. Dès ...
... l'entrée du gland dans son anus, Diane gémit de douleur : - Aie, ça fait mal ! - Détends-toi, ça va aller tout seul, lui dit Roselyne. Diane se concentra sur son anus, ou plutôt sur la barrière des sphincters qui faisaient de la résistance, jusqu'au moment où, à force de patience, Martin parvint à ouvrir le sas. Alors, son dard s'enfonça profondément, procurant à Diane une sensation étrange, pas vraiment vaginale mais pas désagréable non plus. Envahie jusqu'au plus profond d'elle-même, elle ne résista pas à l'envie de remuer son arrière train et une harmonie se manifesta dans le couple. Plus la pine s'activait en elle, plus Diane éprouvait du plaisir. Le battement régulier des deux grosses couilles sur sa chatte lui délivra très vite un plaisir inouï. Le miroir lui renvoya l'image de son visage, bouche ouverte, yeux écarquillés, et celui de son amant, mâchoires crispées, yeux fixés sur sa croupe en mouvement. Elle vit Roselyne aussi qui la regardait avec attention en se caressant le clitoris et Gildas qui recommençait à bander. Diane se surprit à lâcher à l'endroit de son amant : - Encore, encore, ne t'arrête pas, c'est trop bon ! Elle ferma longuement les yeux et quand elle les ouvrit, le miroir lui renvoya l'image du cul poilu qui s'agitait entre les cuisses dodues de Roselyne, baisée une deuxième fois. La sexagénaire se prit les chevilles dans les mains pour s'écarteler et profiter des assauts du poilu. Quelle santé ! se dit Diane fugitivement à propos de sa grand-mère. Mais ...