1. Trois mois de vacances


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, hplusag, voyage, amour,

    ... me regarde, inquiète : — Tu regrettes ? Pour toute réponse, je m’empare de sa bouche. Elle stoppe rapidement mes ardeurs pour enfoncer le clou : — S’il te plaît ! réponds, c’est important pour moi.— Comment peux-tu demander à un homme qui a pris autant de plaisir, s’il regrette ? pirouetté-je.— Te défile pas ! Pour le plaisir, moi aussi, ça a été génial. Mais tu sais bien que la question n’est pas là !— Non, je ne regrette pas, mais j’ai peur.— Peur de quoi ?— De tomber amoureux de toi.— …— En tout cas, on va pouvoir s’occuper agréablement les longues journées d’hiver, pirouetté-je de nouveau— Ça, c’est malin ! Quant à tes sentiments, nul ne sait ce que sera demain. Alors, à quoi bon se prendre la tête. Prenons plutôt du bon temps. Par contre, si on veut que tu ne te casses pas la gueule à chaque fois faut qu’on fasse quelque chose. Aussitôt dit… Nous joignons nos deux lits, accolons autant que nous pouvons les matelas et nous nous recouchons. Mai Line se pelotonne contre moi et s’endort presque immédiatement. Entre les images de notre étreinte et les conséquences prévisibles, j’ai beaucoup plus de mal à trouver le sommeil. La relation apparemment neutre que nous avions permettait une coexistence pacifique. Ce nouveau paramètre va compliquer les choses. De plus, je lui ai menti : je suis déjà amoureux d’elle. Et cela ne date pas de ce soir. J’ai pu me le cacher et lui cacher, mais combien de temps vais-je pouvoir feindre ? M’enfin comme elle dit : nul ne sait ce que sera ...
    ... demain. (intermède moins romantique) Je nage dans un rêve/cauchemar où les délices du plaisir/retrouvaille succèdent aux affres de l’abandon. Après m’avoir quitté pour un beau (et jeune) capitaine, madame la Comtesse se fait pardonner en dégustant Popaul. Une impression d’humidité sur mon gland me tire lentement de mon songe. J’entrouvre un œil. La réalité rejoint le rêve : Mai Line, la tête penchée au-dessus de mon membre, en titille le méat d’un bout de langue pointue. Décalotté, Popaul se redresse lentement. Ma main se pose au creux de son genou. Elle me jette un regard interrogatif. Mes paupières se ferment. Je m’abandonne aux sensations que me procurent ses manigances. Elle procède avec une exquise délicatesse très loin des pompeuses professionnelles qui officient dans les pornos. Tour à tour, elle lèche mon gland par petites touches, le gobe et le suçote. Parfois, elle s’enhardit et engloutit entièrement ma bite. Ce qui malgré la petitesse de sa bouche, vu la taille de mon sexe, ne relève pas de la performance. Elle ne s’attarde pas et reprend ses activités buccales autour de mon gland. Le plaisir qu’elle me donne est indicible. Ma main remonte le long de sa cuisse. D’un geste qui ne prête pas à confusion, elle la ramène en arrière. J’ai compris et cela ne m’embête pas. Se faire « dorloter » ainsi le chauve à col roulé, j’aurais tort de me plaindre. Le cocon obscur dans lequel je m’isole, mon inaction me focalisent exclusivement sur mes sensations. Je ne pourrais résister ...
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