1. Trois mois de vacances


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, hplusag, voyage, amour,

    ... longtemps. Ça bouillonne sec dans mes tuyaux et le niveau monte dans l’alambic. Aussi lorsqu’une fois encore, ses lèvres chatouillent ma toison, ma main se crispe sur sa jambe pour lui indiquer que je vais venir. Elle se retire immédiatement. — Retiens-toi, s’il te plaît. J’ouvre les yeux. Elle est assise sur ses talons et me regarde d’un air suppliant. Au prix d’un gros effort, je parviens à retenir mes larmes de jouissance. Tout en observant ma bite, elle cajole son minou. Si je m’en réfère au léger clapotis qui accompagne ses caresses, madame la Comtesse est prête pour le coït final. Je ne me trompe pas. Dès qu’elle juge que Popaul ne va pas se répandre au premier contact, elle m’enjambe, place son con au-dessus de son objectif. Avec toujours autant de délicatesse, sa vulve épouse mon gland. Mon membre disparaît graduellement jusqu’à totale absorption. Aucune difficulté cette fois, la machine est bien huilée. Un temps d’arrêt. Elle a fermé les yeux. Elle place ses mains sur mes cuisses. Soupir. Elle entame de langoureux va-et-vient. Malgré moi mon bassin se soulève. Ses ongles me rappellent à l’ordre. Son fourreau épouse parfaitement ma bite qui frémit dangereusement. D’une voix rauque, elle chantonne de nouveau dans son sabir sino-portugais. Elle accélère progressivement la cadence. Et soudain tout s’affole. Ses mains volent vers ma poitrine, ses ongles s’enfoncent dans la chair tendre. Son bassin ne se soulève plus, mais oscille d’avant en arrière, de droite à gauche ...
    ... fiché dans mon pieu qui ne va pas tarder d’exploser. Le silence a remplacé ses vocalises. Un silence bruyant ! Elle halète comme si elle venait de piquer un sprint. Le frottement de ses lèvres très lubrifiées contre ma peau génère des bruits de succion. J’explose. Mon sperme stérile giflant ses ovaires libère sa jouissance. Glissant ses pieds sous mes fesses, elle pousse, pousse pour me faire entrer encore plus en elle. Elle s’écroule sur moi, resserre ses cuisses. — Ne bouge pas, reste en moi s’il te plaît, dit-elle en posant sa tête au creux de mon cou. Pour ce qui est de bouger, j’en suis bien incapable. Cette jouissance extraordinaire m’a lessivé. — C’est trop cool de sentir ta queue rétrécir. Elle est vraiment top. Juste la bonne taille.— Tu veux dire que j’ai une petite bite.— T’es con ! Je ne sais pas si elle est grosse ou petite. Elle est faite pour moi, c’est tout. Tu as raison on ne va pas s’ennuyer cet hiver… (passent les jours et passent les semaines) 65e jour, soit le 28 mai, si nous ne nous sommes pas trompés. L’hiver est là avec une bonne couche de neige. Je prends mon petit-déj’. Seul, malgré ce qui s’est passé cette nuit. Mai n’a pas changé ses habitudes. Elle s’est levée la première, a relancé le feu puis elle est partie pour son « jogging » matinal et elle reviendra avec le poisson du jour. Quelle va être son attitude ? Ne va-t-elle pas m’en vouloir ? Le menu du petit-déj’ ne varie guère. Nous buvons une décoction à base de compote et d’eau chaude (il y a ...
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