Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
fsodo,
ecriv_c,
... ragaillardie, le propriétaire reprit son mouvement de hanches et son ramonage de cheminée. La cheminée n’avait jamais reçu d’ustensile aussi gros et long et je supposai que la prochaine enculade serait maintenant plus aisée. Fort de la première dose de sperme inoculé, le sexe noir semblait maintenant se promener sans résistance dans le fion d’Annie, je devinais la fine paroi de peau enserrant intimement le sexe gonflé, tendu à son extrême. L’homme noir sortit des boyaux de ma femme et vint se placer devant. Elle lui nettoya l’outil avec une satisfaction non feinte, faisant fi de l’endroit d’où il sortait. Un nouveau vint tester l’anus, il s’enfonça sans problème : le chemin était tracé. L’homme noir au moment d’éjaculer pris sa verge en main et aspergea copieusement le visage d’Annie de son sperme. Une fois ses bourses bien vidées, il partit avec son ami sans mot dire. Pendant ce temps, deux hommes s’étaient branlés sur son corps et on voyait la semence qui dégoulinait le long d’un sein avant de tomber au sol. Annie, son amant dans le fion, se tenait à nouveau à l’arbre, les jambes écartées, aidant la sodomie de son mieux en offrant sa croupe sans aucune retenue et se branlant le clito d’une main. Le cul de ma salope fut à nouveau inondé, elle jouit en même temps dans un râle de plaisir. Il la releva, toujours en elle, lui pétrit les seins et l’embrassa dans le coup. Ce coup-ci, le phallus sortit des intestins de ma femme. L’homme l’embrassa à nouveau sur la joue puis il ...
... disparut à son tour. Je m’approchai de ma femme et lui présentai un paquet de mouchoirs en papier fin pour qu’elle s’essuie. — Alors heureuse ?. Elle ne répondit pas, s’essuya et vint se blottir dans mes bras en sanglotant. — J’ai honte, je me suis comportée comme la pire des traînées, me dit-elle. La jouissance l’avait libérée et elle raisonnait à nouveau avec sa tête et non plus avec son cul. Elle me confia que le pelotage suivi de la partie de baise, rue Saint-Denis, l’avait complètement excitée. Quand Jean l’avait entreprise, pendant que je discutais avec Pascal à l’entrée du bois, elle n’avait rien fait pour l’en dissuader, bien au contraire. Elle avait remonté sa robe au-dessus du sexe et avait écarté les jambes en signe d’invitation. Il lui avait caressé la fente et le clito d’un doigt d’expert, la menant presque à la jouissance. Il s’était même accroupi pour passer une petite langue rapide sur le sexe de ma femme et l’avait pénétré avec l’un des vibromasseurs, que les Japonais avaient laissé sur le siège arrière. Cela faisait suite aux pelotages qu’elle avait subis dans la voiture, les deux Japonais et lui-même n’avaient cessé de la tripoter sur le chemin du bois. Les deux asiatiques avaient commencé à lui caresser discrètement la cuisse, chacun de leur côté puis s’étaient attaqué à son sexe. Les deux mains lui avaient littéralement investi l’orifice, l’amenant presque au plaisir et Liu lui avait même introduit un doigt. Jean du siège du fond avait pu voir tout la scène ...