Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
fsodo,
ecriv_c,
... et c’est discrètement qu’il lui avait peloté les seins. Son excitation avait eu raison de sa morale et de ses principes. J’avais raté l’épisode des asiatiques et de Jean dans la voiture, mais qu’importe, ceci expliquai cela et je ne revins pas sur le fait, que c’est moi qui avait généré la situation dans le bois. — Je te propose un marché, lui dis-je.— Tout ce que tu voudras, me répondit-elle. Je lui expliquai que ce type d’aventure ne me déplaisait pas et qu’elle devrait se soumettre à mes désirs. Je savais que cela ne durerait pas éternellement, les engagements d’Annie sur ce plan étant plutôt ponctuels, j’avais déjà eu l’occasion de les tester. Par contre l’atout que je prenais en considération, était bien qu’une forte excitation venait à bout de sa morale et de ses idées arrêtées et je comptais bien en profiter dans le futur. Après avoir fait le tour de sa personne et vérifié qu’il ne restait plus de trace de sperme, je lui remis sa robe. Elle avait introduit un mouchoir dans son minou pour éviter quelques coulées résiduelles de sperme. Nous reprîmes le chemin de la voiture. J’avais craint que nos amis aient été obligés de nous attendre, mais il n’en était rien, le véhicule était vide sans personne à côté. Elle récupéra son sac à main soigneusement caché sous le siège et trouva à l’intérieur le nécessaire pour se refaire une beauté. Cinq minutes après, elle était pimpante, comme si rien ne s’était passé. Aussi belle et radieuse qu’auparavant. Je décidai de battre le fer ...
... pendant qu’il était chaud et glissai une main sur le minou de ma femme. Elle écarta spontanément les cuisses, signe qu’elle n’était pas encore comblée sexuellement. Elle leva les fesses afin de laisser sa robe remonter et découvrir son sexe d’où dépassait un morceau de mouchoir. J’ôtai ma main afin qu’elle puisse l’enlever, il était maculé du sperme de ses amants, elle ouvrit la vitre et le jeta par terre. Elle reprit un propre et le remis en place. — Ils t’ont farcie comme une dinde, lui dis-je en plaisantant.— Oui ça dégouline encore, répondit-elle. Je repris les caresses et Annie ne tarda pas à se laisser aller, la chatte de nouveau en feu. Mon manège n’était pas passé inaperçu et quelques hommes s’approchèrent du véhicule. Annie avait les yeux fermés et se laisser masturber les jambes bien écartées. Un des hommes ouvrit la portière du côté où elle se trouvait, il exhibait un sexe de belle dimension mais sans commune mesure avec ceux des deux amants noirs. Annie ouvrit les yeux, je n’eus pas à le lui demander, elle attrapa le sexe de l’homme et le fit disparaître dans sa bouche. Ses lèvres entouraient harmonieusement le sexe , on sentait que ma femme aimait tailler des pipes. Suivi un long va-et-vient buccal, on pouvait voir des traces de rouge à lèvres toutes fraîches qui entourait le pénis, elle lui malaxait les bourses avec amour et précaution quand il l’emplit de sa liqueur. Elle le maintint par les fesses pour qu’il ne puisse asperger son visage de son jus et comme ...