Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
fsodo,
ecriv_c,
... pour les autres le suça jusqu’à la lie, avec beaucoup de conviction et de vigueur. — Putain, la salope !, s’exclama l’homme vidé de sa substance.— Oui, répondis-je, mais quelle superbe salope ! Un autre homme lui demanda de sortir afin qu’il la baise. Elle allait s’exécuter, quand il me sembla reconnaître au loin nos quatre acolytes qui revenaient. Elle s’excusa de ne pouvoir le satisfaire, mais lui proposa une petite pipe rapide. L’homme accepta et elle se mit à l’oeuvre elle s’accroupit devant lui et protégée de la vue par la voiture, lui prodigua une pipe si magistrale, qu’à peine une minute après, l’homme avait vidé ses couilles dans le réceptacle buccal qu’était devenu la bouche et la gorge de ma chienne de femme. — Je ne pensais pas que tu pouvais être aussi salope, lui dis-je.— Moi non plus, répondit-elle, mais laisse-moi faire, tu vas être comblé. Elle était de nouveau en chaleur et semblait déchaînée. Elle remit du rouge à lèvre et s’assit sagement sur le fauteuil derrière le conducteur. Elle s’essuya à nouveau la minette et jeta le kleenex à l’extérieur. Elle baissa un peu sa robe de sorte à jouer à la petite épouse modèle. Je sortis du monospace pour me rendre à la rencontre de nos nouveaux amis. — Alors cela leur a plu ?, dis-je en parlant des deux Japonais.— Oui, mais on ne les tient plus, ils ont tripoté tout un tas de types ou de filles, je n’en sais trop rien sans aller jusqu’au bout et ils sont intenables, ils veulent continuer la soirée, me dit Jean.— J’ai ...
... l’impression, qu’ils n’ont pas l’habitude de boire, et que le champagne a du les secouer un peu, ajouta t-il. Effectivement, apercevant un travesti un peu plus loin, nos deux Japonais étaient repartis bras dessus, bras dessous le rejoindre, suivi de Pascal qui essayait de gérer la situation.Je retournais au véhicule, Jean discutait avec Annie par la vitre arrière qu’elle venait d’ouvrir. Je m’approchais par l’autre vitre. Elle avait les cuisses bien entrouvertes et exhibait de nouveau son trou à bites. Elle allumait Jean. Je rentrais dans le jeu et tapais à la vitre de l’autre côté. Annie se pencha en se tournant sur les sièges afin d’atteindre l’interrupteur de commande pour abaisser cette dernière. La vue fut imprenable, on pouvait voir son magnifique fessier et son abricot légèrement ouvert. Jean ne savait plus s’il devait me regarder ou profiter du cul d’Annie. Annie ouvrit la vitre. — Ça va ma chérie, lui dis-je.— Oui mon amour, répondit-elle. Les trois comparses revenaient, nous allions pouvoir quitter le bois. Je pris la place à l’arrière, Annie, Liu et tchong restèrent au milieu, Jean et Pascal devant. Pascal nous proposa une boite de nuit pour finir en beauté, je devinais qu’il pensait pouvoir emballer Annie et se l’envoyer discrètement. Nous acceptâmes, Annie comprise. Nos asiatiques étaient vraiment excités. Ils rigolaient avec Annie et sous prétexte de jeu s’employaient à la peloter de partout. Jean tenta de les calmer, mais j’intervins en lui confiant que nous ...