Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
fsodo,
ecriv_c,
... passer à l’acte. J’entraînai à nouveau Annie, accrochée à mon bras. Suivant le travesti, nous nous enfonçâmes subrepticement dans le bois. Celui-ci déclina son programme ainsi que ses prix. Il m’attrapa la main qu’il mit d’autorité sur son sein. — J’suis sur qu’ils sont plus fermes que ceux de ta pute, me dit-il et joignant la parole aux actes attrapa le sein d’Annie.— Hum! pas mal, dit-il. Annie se recula. Le travesti, voyant qu’elle avait peur de lui, se rapprocha d’elle à nouveau, Annie recula encore. Il fit semblant de lui courir après et Annie détala. — C’est vraiment une trouillarde, me dit-il, de sa voix nasillarde. Je le laissais sans répondre afin de rejoindre Annie, qui attendait à une dizaine de mètres à moitié cachée par la pénombre et les fourrés. Je lui proposais de rejoindre la voiture, proposition qu’elle accepta sur-le-champ. Annie s’était un peu enfoncée dans les bois et nous reprîmes le chemin inverse en restant dans le bois. Si Annie avait eu peur, la situation m’avait assez émoustillé et je sentais mon sexe se raidir dans mon pantalon. Tout ce qui venait de se passer à vrai dire répondait à mes fantasmes les plus fous. J’étais maintenant partagé entre un sentiment de culpabilité, de jalousie et d’envie de continuer. Je m’arrêtais et attrapais Annie pour l’embrasser fougueusement. Heureuse de voir mon attitude, envers elle, changer, elle répondit instantanément à mon baiser. Mais surtout, je pensai en ce moment qu’elle avait toujours le feu au cul. Je ...
... passais ma main entre ses cuisses et commençais à caresser la fente et le clito. Comme je le soupçonnais, Annie était déjà bien humide, le doigté de Jean devait y être pour quelque chose. Nous étions cachés des regards de la route, mais la lumière des réverbères ajoutée à celle de la lune presque pleine, suffisait à se distinguer plus que correctement. Des yeux de voyeurs nous entouraient. Je relevais la robe et appuyais Annie contre un arbre. Ses seins laiteux étaient denses et fermes et je me complaisais à les pétrir et à les sucer pendant que je conditionnais son joli sexe bombé à recevoir un phallus. Il était trempé et dégoulinait tant il était avide de sexe. J’avais remarqué que nous étions épiés et cette situation m’excitait encore plus. Un plan venait de germer dans ma tête, une petite vengeance au comportement de ma femme. Nous avions déjà fait l’amour en forêt, près de chez nous, mais jamais dans un tel contexte. Le bois était un haut lieu du sexe, tout n’était que sexe ici. Notre désir était à son paroxysme. Je retournais Annie, lui relevais la robe, par-dessus la tête, qui coincée en dessous des bras, la rendait pratiquement aveugle. Je la positionnais face à l’arbre de sorte à ce qu’elle s’appuie sur le tronc en me présentant sa croupe. Je lui passai longuement la main entre les fesses, la caressant de l’anus jusqu’au mont de vénus. Annie était prête, dégoulinante à souhait, tendant la croupe telle une chienne en chaleur. Elle écartait les cuisses autant qu’elle le ...