1. Un week-end à Paris...


    Datte: 17/01/2018, Catégories: fhhh, inconnu, grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme double, fsodo, ecriv_c,

    ... pouvait et les lèvres ouvertes de sa foufoune étaient une invitation à la pénétration. Elle était vraiment fendue comme une reine et chaude comme une chienne. Un groupe d’une demi-douzaine d’hommes s’était approché en silence et admirait le spectacle. La plupart avaient le sexe en main et se branlaient. — Ne bouge pas, dis-je à mon épouse. Je reculais d’un demi-mètre et présentais, d’un geste auguste et gracieux de la main, le cul offert de ma femme. L’homme le plus proche était à environ un mètre, il s’approcha le sexe tendu dans la main, il avait ôté le pantalon et le slip qui gisaient à terre. Son phallus, sans être extraordinaire, était de bonne taille, il attrapa une fesse qu’il écarta d’une main et ouvrit les lèvres humides à l’aide de deux doigts, ajusta son gland à l’entrée de la vulve de mon épouse et s’engouffra, lentement mais sûrement, dans la chaude intimité de ma femme qui gémit de plaisir. Son vit disparut complètement dans le trou d’amour, fouillant les recoins les plus secrets d’Annie. Il l’attrapa par les hanches et commença un lent va-et-vient, accompagné des petits gémissements de ma compagne, qui à priori, n’avait pas découvert la supercherie. Ses seins ballottaient au rythme de la pénétration, les hanches étaient creusées, afin de profiter au mieux, du pieu qui remplissait son ventre. On pouvait entendre un léger bruit de succion, lorsque le sexe ressortait de l’anatomie de son amante. Il la prenait lentement et profondément, se reculant à la limite de ...
    ... la sortie du sexe et entrant au maximum dans un coup de rein violent. Dans un feulement rauque, l’homme jouit, s’enfonçant sauvagement dans la petite chatte, il emplit de sa semence le jardin secret de ma petite femme, envoyant ses spermatozoïdes à l’assaut de ses ovaires, le jus inondant le ventre qui avait porté mes enfants. Le sexe se dégonfla et fut lentement éjecté du sexe d’Annie. Il se retira et fut remplacé aussitôt par un gros bonhomme au sexe monstrueux. Il arriva, lui aussi, le sexe tendu dans la main, attrapa Annie par les hanches et lui enfila ses vingt bons centimètres d’un seul trait, fort de la lubrification que venait de laisser son prédécesseur. Le vagin accueilli ce nouveau visiteur sans retenue. Par contre, Annie comprit que la situation n’était pas celle qu’elle croyait et se débattit en m’appelant. — Ta gueule, lui ordonna l’homme tout en commençant à la buriner.— Laissez-moi, gémit doucement ma femme, submergée par le désir non assouvi de sa première passe. Mais l’homme la maintint fermement et l’énorme phallus qui frottait tendrement ses chairs eut raison de sa raison. Elle cessa de se débattre et arqua sa croupe à son second amant du bois. Pendant que l’homme lui martelait l’intimité, un autre se rapprocha et lui ôta les bras de l’arbre sur lequel ils reposaient. Il attrapa la robe qui lui cachait le visage et l’enleva. Annie n’avait plus maintenant que son porte-jarretelles, ses bas et un homme dans le vagin. D’une main, le nouveau attrapa Annie par ...
«12...8910...17»