1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (9)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Hétéro

    Christine et moi passons le reste de la matinée au lit. Nous baisons dès que mon état le permet et jouons avec les sex-toys. Christine passe une guêpière et notre ébat se termine en sodomie. Vers 11h30, nous nous douchons et je m’habille rapidement. Christine porte la tenue que je lui ai demandée. Si la robe est tout à fait élégante et soignée, il n’en est rien de ce qu’elle laisse apparaitre. Le redresse-sein plaque les mamelons de Christine contre le tissu, les faisant largement pointer. En regardant bien, on voit même la démarcation des aréoles. En bas, les attaches marquent ostensiblement le tissu au niveau des cuisses, devant et sur le côté. C’est encore mieux derrière : je n’avais pas remarqué pendant le défilé à quel point la robe dessinait les fesses de mon épouse. Les deux larges globes sont parfaitement moulés et font apparaitre la raie. Au niveau des hanches, le porte-jarretelles est visible sur toute la largeur ainsi que les jarretelles et les attaches métalliques. J’en reste bouche béé. Christine me parle mais je n’entends rien. Elle doit taper dans ses mains pour que je reprenne mes esprits. — On y va ? — Tu es sûre ? — Avant, non. Après ta réaction, oui. Nous ne croisons personne dans notre immeuble en partant et je vais me garer dans un parking souterrain du centre-ville. Alors que nous attendons l’ascenseur, une femme nous rejoint. Elle nous salue poliment. Elle porte une robe noir, simple et élégante. Mince et élancée, je lui donne environ 35 ans. En entrant ...
    ... dans la cabine, elle regarde attentivement Christine. L’ascenseur vitré monte et la lumière du jour pénètre d’un coup dans la cabine. La femme sourit et hoche la tête. — Madame, j’admire votre confiance en vous et votre courage. Vous êtes élégante, séduisante et en même temps, permettez moi de vous dire que vous avez les atours d’une putain. J’aimerais tellement oser me vêtir comme vous ! Continuez, ma chère, continuez. Vous venez de me faire immensément plaisir. Monsieur, vous pouvez être fier de votre compagne. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et la femme s’en va. Nous restons là, immobiles, durant quelques secondes. Christine s’esclaffe. — Mince, tu l’as payée ou quoi ? C’est la première personne que nous croisons et elle m’envie ! J’éclate de rire. La scène que nous venons de vivre est en effet surréaliste. Elle a en plus le don de détendre Christine. Je la prends par la main et nous sortons à notre tour de la cabine. La passage en ville est une succession de torticolis masculins et parfois féminins. Après avoir pris mon épouse par la taille, je n’hésite pas à poser fermement ma main sur ses fesses, ce qui la fait rire. Je lui répète à quelle point elle est belle et séduisante. Au restaurant, le serveur est aux petits soins avec nous. Et cela est certainement dû au fait que Christine a ouvert deux boutons au bas de sa robe afin de pouvoir croiser les jambes. Et dévoiler légèrement le haut de ses bas. Nous allons ensuite boire le café sur les quais du lac avant de nous ...
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