1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (9)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... avec lui ? — Non. Il est client de la banque où je travaille. Il m’a repérée, invitée, baisée. Deux mois après, il quittait l’autre. Au loin, ma femme discute avec l’homme tout en marchant lentement dans notre direction. — Et là, qu’est-ce qu’il est en train de raconter à ma femme ? — Bah, il la baratine. Il va l’inviter dans un des meilleures restaurants de la ville. Si votre femme refuse de lui donner son numéro de téléphone, il va lui donner sa carte de visite. Nous les observons. Ils s’arrêtent et effectivement, l’homme donne sa carte à Christine qui la met dans son sac à main. — Qu’est-ce que je vous avais dit ? Il est tellement prévisible… Après une pause, elle demande : — Vous n’allez pas lui casser la gueule au moins ? Je ris. — Non, mais j’insisterai pour que vous soyez présente s’ils nous invitent au restaurant. Enfin, elle sourit. Christine et l’homme ne sont plus qu’à une trentaine de mètres de nous. — Ça va le déstabiliser de vous voir à côté de moi. Ma voisine ajoute : — Votre femme est superbe. Tellement sexy. Elle ose, elle a tellement raison. Le porte-jarretelles, on ne voit que ça. Et elle n’a pas de culotte, n’est-ce pas ? Il n’y a aucune trace. — Je vous le confirme. — Par contre, elle a quoi comme soutien-gorge ? — Un redresse-sein. — Jamais essayé. Christine et l’homme sont devant nous. Il monte vers moi. Je lui tends la main. Il hésite puis la prend. — Bonjour. Florent, le mari de Madame. — C’est ce qu’elle m’a dit, oui. Que faites-vous là ? — Comme ...
    ... vous discutiez avec mon épouse, je me suis permis de discuter avec la votre. — Elle n’est pas mon épouse. — Dommage pour vous. J’ai passé un excellent moment en sa délicieuse compagnie. J’en rajoute des tonnes. Il est en train de monter les tours. La jeune femme a replongé le nez dans son smartphone. Christine m’appelle. — Viens, ta glace va fondre. Je souris à l’homme. — Heureux d’avoir fait votre connaissance. Et je rejoins ma femme. Nous nous éloignons. — Je ne sais pas ce que tu lui racontais, mais elle, elle était morte de rire. — Tant mieux. C’est un goujat. Quel restaurant ? — La Couronne. Vendredi soir, 20h. Je dois le rappeler pour confirmer. Et porter une tenue "se rapprochant" de celle d’aujourd’hui. Et elle ? — 22 ans, met de l’argent de côté en attendant de se faire jeter. Fait ce qu’on lui demande. Mais elle commence à péter un plomb. — C’est malsain, tellement malsain. Nous retournons en direction du parking. En attendant l’ascenseur, nous nous enlaçons et nous embrassons. Nous avons envie l’un de l’autre. Nous sommes seuls et je commence à déboutonner la robe de Christine, ne laissant que trois boutons fermés. Dans la cabine, j’embrasse sa poitrine et la doigte quelques instants. Christine se reboutonne partiellement. Dans la voiture, elle n’attend pas que je démarre pour se pencher sur mon entrejambe et commencer à me sucer. Il en sera ainsi durant tout le trajet. Nous sommes en ville, en début d’après-midi et Christine ne se préoccupe absolument pas que les ...