1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (9)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... asseoir sur une grande marche d’une esplanade où quelques employés en costume et tailleur finissent tardivement leur pause de midi. Il fait très bon. Je me lève pour aller m’accouder quelques instants à la balustrade pour observer le lac. Quand je me retourne, Christine a décroisé les jambes. Lentement et discrètement, elle déboutonne une nouvelle fois le bas de sa robe et écarte les jambes. A une dizaine de mètres, face à moi, elle exhibe son sexe glabre. Elle referme ensuite lentement les jambes. Elle m’a mis le feu. Elle se lève. Plusieurs hommes la regardent. Particulièrement celui qui est assis à sa droite. La cinquantaine, il avait déjà jeté plusieurs regards dans sa direction lorsqu’elle était assise et il a peut-être même remarqué le petit manège de Christine. Il est accompagné d’une magnifique femme blonde, bien plus jeune que lui. Il n’a désormais d’yeux que pour le postérieur de mon épouse et il me semble lire de l’agacement sur le visage de la blonde. Christine vient m’embrasser, dos au couple. Je pose mes mains sur les fesses de ma femme et les pelote. La blonde parle à l’homme qui n’écoute pas. Je passe lentement ma main sur sa jarretelle droite, de haut en bas. — Si je soulève ta robe, nous aurons un mort sur la conscience. Christine rit. — Ah oui ? Pourquoi ? — Soit il meurt d’une crise cardiaque. Soit la blonde à côté de lui l’assassine. — A ce point ? — Il bloque sur tes fesses depuis que tu t’es levée et elle ne semble vraiment pas contente. Tu sais quoi ? ...
    ... Tu devrais aller acheter une glace au bout du quai, là-bas. — Tu penses qu’il va me suivre ? — Sûr. — Et toi, que vas-tu faire ? — Allez voir la blonde et m’excuser. — Ah ah ! On tente. J’y vais. Cela ne rate pas. Je me tourne à nouveau face au lac. Ne surtout pas surveiller Christine. L’homme a quitté sa place à peine trente secondes après elle. Il marche une vingtaine de mètres derrière elle. La femme regarde son téléphone. Elle ne remarque ma présence que lorsque je m’assieds à côté d’elle et me jette un regard noir. Elle est effectivement très jeune, 23 ou 24 ans peut-être. Sa tenue stricte et son chignon la vieillissent. — Je tenais à m’excuser auprès de vous… Elle me coupe. — Laissez tomber, ça n’est pas nécessaire. Si ça n’avait pas été votre femme, ça aurait été une autre. C’est tout le temps comme ça. — Je suis désolé. — Il lui les faut toutes. — Pourquoi restez-vous avec lui ? — L’argent. Il est blindé et paie tout, même mon appartement et il me donne de l’argent de poche. Je n’ai aucune dépense. — Effectivement. — Je mets tout mon salaire de côté. J’aurais un bon matelas lorsqu’il me jettera. — Pourquoi vous jetterait-il ? Vous êtes magnifique. — Pour une plus jeune, qui suce quand il en a envie, qui écarte les jambes quand il en a envie, qui s’habille selon ses goûts, qui rit à ses blagues lourdingues et que fait pas chier quand il va voir ailleurs. C’est comme ça que je suis devenue "l’officielle". La précédente avait 27 ans. — Et vous ? — 22. — Vous travaillez ...