1. La cycliste


    Datte: 07/07/2017, Catégories: fh, frousses, grosseins, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, pénétratio, fdanus, québec, nature,

    Bien agrippé aux hanches dema blonde, je la besognais avec la régularité d’un métronome depuis dix bonnes minutes quand je stoppai, trop excité, me retenant déjà. Le faire à l’extérieur, sur un ponceau de bois loin en forêt comme maintenant, décuplait tous mes sens et accentuait toutes mes sensations. C’était l’heure du souper, le soleil déclinait et allait bientôt disparaître derrière les montagnes boisées. Très haut dans le ciel, des corbeaux tournoyaient, il n’y avait pas le moindre souffle de vent et la chaleur de la journée s’estompait peu à peu. Le calme plat, je m’étais toujours senti plus vivant dans des endroits comme celui-là, loin des bruits de la ville mais surtout loin des autres. L’étroit chemin de terre sur lequel on était, menait à des chalets à une vingtaine de miles, plus loin au grand lac des Pins, puis deux heures de route plus au nord, à d’anciens chantiers de bûcherons abandonnés depuis des dizaines d’années. Ici, en plein milieu de la forêt sombre et silencieuse, si une auto approchait ou un tout-terrain on l’entendrait de loin et on aurait amplement le temps de ramasser la caméra sur trépied et de se cacher derrière les arbres. J’avais une toute nouvelle caméra HD et on filmait nos ébats amoureux comme beaucoup de couples, qu’on regardait ensuite en baisant à nouveau. Suzanne aimait ça autant que moi, se regarder ou se faire prendre en photo nue en pleine nature. On avait installé notre petite roulotte un peut plus haut sur le bord de cette même ...
    ... petite rivière de sable qui s’écoulait tout doucement sous le ponceau. Un endroit où ma blonde, une métisse toute en rondeurs, moitié Amérindienne, moitié Québécoise, venait camper plus jeune avec sa famille. Pliée en deux, bien agrippée à la rambarde, jambes écartées, petits orteils repliés, elle soupirait et gémissait faiblement, aussi excitée que moi de le faire en pleine nature. Depuis quelques années, on baisait à l’extérieur partout où on le pouvait, c’était de loin ce qui nous excitait le plus : ça et nous filmer. La peur de se faire surprendre, c’est bandant ! On adorait aussi le naturisme mais seuls tous les deux et loin de tout. Marcher nus en forêt, se baigner et baiser au soleil sans contraintes comme si on était seuls au monde, c’était fantastique et c’est pas les endroits isolés qui manquent au Québec. Chaque été on partait un mois ou deux avec notre petite roulotte à la recherche de tel endroit le long de la côte nord. Des vacances de rêve avec une femme exceptionnelle et magnifique qui avait fait carrière comme traductrice aux Nations-Unies à New York. Une femme intelligente, brillante, belle et désirable. Chaque fois que mon bas-ventre frappait ses jolies fesses un peu molles, elle rebondissait tout comme ses seins lourds, énormes, démesurés, qui se balançaient joliment. Par son côté amérindien, Suzanne avait des petits yeux bridés et presque noirs, des lèvres pâles et épaisses à la japonaise et la peau couleur café au lait magnifique. Une très belle femme ronde, ...
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