La cycliste
Datte: 07/07/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
grosseins,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
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... mais pas trop, sauf pour sa poitrine. En enfonçant ma bite dans son con détrempé, j’admirais son dos courbé, ses frêles épaules, ses cheveux noirs assez courts attachés en queue de cheval et son cul splendide. J’étais tombé amoureux d’elle à dix ans, la belle petite Indienne comme on l’appelait à l’époque, mince avec de longues tresses ; et elle de moi, le petit timide duCartier. Elle était un vrai garçon manqué et on faisait les cent coups ensemble à l’époque. Puis on s’était perdus de vue et retrouvés à l’approche de la cinquantaine, séparés et sans enfants tous les deux. L’amour de ma vie, je n’avais cessé de penser à elle pendant toutes ses années. Maintenant on était à la retraite et on profitait de la vie tout simplement. J’allais accélérer le mouvement pour jouir, un pouce mouillé de salive enfoncé légèrement dans son anus tandis qu’elle se masturbait, quand j’entrevis un mouvement du coin de l’œil sur la gauche… Je me figeai en tournant la tête, la bite enfoncée jusqu’aux couilles dans le vagin détrempé, le cœur battant à tout rompre et je vis une bicyclette apparaître de derrière les sapins. Un vieux vélo rouillé, à l’ancienne, avec un panier en osier usé au guidon, une lumière fendillée et un klaxon en forme de poire, comme on n’en voit plus. Et aux commandes de ce vieil engin, il y avait une femme magnifique aux longs cheveux roux, plus âgée que nous, en robe d’été blanche légèrement transparente et chapeau de paille. Une femme mince, aux joues creuses et aux ...
... lèvres bien dessinées, qui agrandit les yeux en nous découvrant nus tous les deux en train de baiser sur ce petit pont, sans parler de mon pouce bien visible dans le cul de ma blonde. Et elle sourit sans s’arrêter. Étrangement, ce vieux vélo ne faisait pratiquement aucun bruit, même si la chaîne était toute rouillée. Sa robe légère était remontée sur ses cuisses d’une blancheur de neige et quand elle pédalait, sandales aux pieds, j’entrevoyais sa petite culotte blanche renfoncée dans sa fente. « Doux Jésus ! » me dis-je en levant les yeux tout en sentant un petit courant électrique traverser ma queue. Visiblement elle ne portait pas de soutien-gorge et sa poitrine lourde, en forme de poire, tombait un peu bas et ondulait doucement et sursautait à la moindre bosse. Ses mamelons bien visibles pointaient de plus en plus, sans doute à cause du spectacle qu’elle regardait du coin de l’œil, ça me fit déglutir. Elle continua à venir vers nous comme si de rien n’était, pédalant tête haute, fièrement. Ce spectacle avait quelque chose de surréaliste, ici, perdu au milieu de nulle part. — Bonjour ! dis-je, nerveux, quand elle fut tout près. Désolés, on se croyait seuls.— Y a pas d’offense ! Vous dérangez pas pour moi, c’est beau de vous voir ! dit-elle simplement en souriant sans tourner la tête avec une voix légèrement éraillée, un peu haut perchée mais très sensuelle, en passant derrière nous. Juste à penser qu’elle me voyait le cul et les couilles me donna le frisson et m’électrisa. Je ...