1. La cycliste


    Datte: 07/07/2017, Catégories: fh, frousses, grosseins, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, pénétratio, fdanus, québec, nature,

    ... genoux se plièrent et se frappèrent et elle dodelina du cul. Elle jouissait, je sentais les contractions de son vagin contre ma bite restée dure. Je caressai son dos et ses fesses, attendant qu’elle finisse, puis me retirai doucement en grimaçant à cause de mon gland trop sensible et me la secouai. Suzanne se redressa lentement, le souffle court, les yeux réduits à deux petites fentes… Ses rougeurs s’étendaient jusqu’aux seins à présent. Elle me fixait les yeux rieurs, si belle. — Quoi ? fis-je en pressant ma bite pour en extirper les dernières gouttes de sperme.— À t’a vraiment excité, celle-là ! dit-elle en regardant ma queue. T’es venu vite ! T’as hâte de regarder le film, j’imagine.— Hum ! fis-je en souriant. Toi aussi, non ?— Ouais ! fit-elle malicieuse. On devrait y aller avant qu’elle revienne.— Pourquoi, y a pas d’offense, a l’a dit tantôt ! Suzanne me fit une jolie petite grimace avant de descendre à la rivière pour se laver l’entrejambe tandis que j’éteignais la caméra… Je me demandais ce qu’avait pensé cette femme de ce couple qui se filmait en train de baiser en plein milieu du chemin. C’était la première fois que l’on se faisait surprendre et cela avait un petit côté grisant. Nos vêtements étaient restés à la tente, je n’avais qu’un sac en bandoulière quand on s’en retourna nus tous les deux, soulagés de nos pulsions, le trépied avec la caméra à l’épaule. — Tu sais ce qui est vraiment bizarre avec cette cycliste ? me demanda Suzanne en m’enlaçant.— Non. Quoi ?— ...
    ... C’est que je suis sûre que c’est le vieux vélo de ma mère ! A tout cas, y est pareil à celui quelle emmenait ici ; pis j’ai une sacrée mémoire, tu le sais.— Impossible ! Ça fait quoi ? 35, 40 ans ? Y serait tombé en poussière. J’étais presque débandé quand on entendit le vélo derrière nous. Ma bite pulsa à nouveau. On se tassa et elle nous dépassa sans rien dire et puis on entendit, avant qu’elle ne disparaisse dans le détour : — Jolies fesses !— Ah ! fis-je, tout sourire. C’est à moi que ça s’adresse, ça !— Pas sûre, est peut-être lesbienne.— Ou bi !— Fantasme pas trop, toué, là !— Je te laisse le dernier mot, ma belle Indienne.— T’as intérêt, mon homme ! Et pis arrive au 20e siècle, on dit Amérindienne maintenant, ou très jolie représentante des premières nations, ou simplement belle autochtone, jolie métisse ou déesse des bois…— Seigneur ! Arrête, tu m’étourdis ! Pis en passant, toué, arrive au 21e siècle, belles fesses. Là, elle me regarda lèvres pincées, consciente de sa petite erreur, elle qui est si fière de sa mémoire. — Pour ta punition, tu fais le souper, mon homme !— Punition ! Punition pourquoi ?— Pour être venu trop vite.— J’ai pu vingt ans, madame.— Ça, on le sait ! fit-elle en riant, les yeux à demi fermés, si belle avec ses gros seins qui ballottaient. Ça suffit à me faire rebander. On fit quelque pas et je rajoutai : — Ah ! Je comprends, t’aurais aimé qu’on n’ait pas terminé avant qu’elle repasse ! C’est ça, hum !— Seigneur ! Ça a été long ! C’est vrai que tu ...