1. Terma- Djaffar et Sousou


    Datte: 07/07/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Par la suite, notre soirée s'est totalement modifiée. Djaffar nous a invités à nous mettre, tous les trois, à poil, ce que nous firent en vitesse et dans les rires et la joie. La suite sera certainement des ébats inédits en perspective. J’ai enfin observé le corps de Sousou. Par devant, Sousou n’a pas été gâté, un pénis moyen, bien plus petit que le mien et recroquevillé sur lui-même, il n’était pas tentant. Par contre, de derrière, Sousou était bien rempli, surtout sur les hanches et les fesses blanches, avec un long sillon provocateur qui cachait des trésors de plaisirs et de jouissances. En somme, une très bonne terma qui a du subir les outrages de centaines de zob. D’après ce que je voyais, ce gars ne pouvait donner son cul qu’à de gens pourvus de gros zob et professionnels de la sodomie. Je ne sais pas pourquoi je fantasmais sur ce gars que je viens juste de connaitre. Nous étions donc tous nus et la séance a commencé par moi. Nous nous sommes installés sur le grand lit à deux places de Djaffar. Il m’a pris entre ses bras : « Garbi laya ya kahabti j’dida ! hatili foumok ! hahou zebi m’ta’nn’nane ! moussih ! moussih kaamel m’lih !» (approche toi ma nouvelle putain ! donne moi ta bouche ! regarde zébi qui est bandé !suce le ! suce le complètement et bien ! ) Et voila, j'ai été le premier à recevoir sa queue dans la bouche, elle était monstrueusement gonflée par le désir. Son choix m’a fait un grand plaisir ! j’étais heureux (se) de l’empoigner, la gouter, la sucer jusqu’à ...
    ... sa racine et la lubrifier. Cinq minutes de plaisir buccal, pendant que Djaffar me titillait le cul avec ses mains et ses doigts. Puis, comme on dit, on est passé aux choses sérieuses ! « Hatili dhorka teremtek enik’ha ! e’ntartag’ha ! zebi raah s’khoun bez’za’nnna ! » (donne moi ta terma pour la niquer ! l’exploser ! mon zob est brulant de sperme !) En position levrette, le cul en l’air, les fesses dégagées et l’anus gentiment ouvert, Djaffar a honoré ma terma de ce zob si délicieux, dont je commençais à connaitre les désirs, les palpitations et les soubresauts à l’approche du plaisir. Sa pénétration express a été facilitée par le suc de ma terma qui mouillait son intérieur dès notre déshabillage. Ensuite, Djaffar m’a labouré le sphincter par ses coups de reins virils comme d’habitude. Cela n’a duré que quelques minutes et il se crispa sur mes hanches. « jaat ! jaat ! e’nfarak fi termetek ! nesguiha be’3assal zébi ! » (ça vient ! ça vient ! je me déverses dans ta terma ! je l’arrose avec le miel de mon zob !) Trop rapide pour mes sens, dommage, mais il devait être à cran, car, soudain, dans une dernière secousse de son zob, une crispation passionnée, les couilles de Djaffar ont déversé leur plein de sperme par des jets puissants et brulants qui ont arrosé et rempli mes fondements. Et comme d’habitude, j’ai profité de ce choc brutal, quoique rapide mais délicieux, pour crier librement et fort mon plaisir, sans retenue. Mon cul coulait de son suc et de sperme. Encore une fois, ...
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