1. Terma- Djaffar et Sousou


    Datte: 07/07/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... apprendre. J’étais très intéressé et voulant connaitre beaucoup plus, alors il m'a invité de venir chez lui un jour. Comme j'étais un peu étonné il m'a rassuré qu'il vivait seul depuis sa séparation avec sa femme il y a plus de huit ans. A ma question sur les gens qu'il recevait chez lui, il m'a aussi rassuré qu'il ne faisait jamais l'amour chez lui mais toujours chez ses clients comme le cas avec notre ami Djaffar ou dans un endroit spécialisé comme dans certains hôtels et pensions particuliers. Et il m'a promis de me faire ses confidences sur ses expériences de sodomie. Il m'a donné son numéro de téléphone et rendez vous pris pour le samedi prochain à onze heure dans un bar connu. Djaffar étant revenu avec quelques provisions et boissons, nous avons repris le chemin de nos plaisirs pour une nuit chaude à trois. Mais Djaffar en a décidé autrement. Pour me faire plaisir encore une fois, et, selon ses dires, pour « m’éduquer », Djaffar m'a donné un avantage pour la nuit : « em’maym’ ti ! ez’zouenti ! e’layla laytek ! » (mimi ! bella me ! cette nuit est pour toi !) « zebi rah leik ! nikiih ! koulih be’teremtek es’skhouna ! » (mon zob tout à toi ! nique le ! mange le avec ta terma si chaude !). Sousou, s’il le désire, devra se contenter pour cette nuit, seulement de sucer et branler le zob de Djaffar avant chaque sodomie. Et, pour mon bonheur et celui de ma blanche terma, j'ai reçu, par quatre fois, le zob de Djaffar dans mes entrailles et il a éjaculé autant de fois. Je vous ...
    ... conte quelques détails de cette performance. Les deux premières fois, en début de soirée, il m’a sodomisé sauvagement mais le résultat a été pour mon corps follement agréable. La première fois, en levrette, avec forte éjaculation. La seconde fois une demi heure plus tard, une sodomie face à face avec mes jambes bien levées pour faciliter l'accès de mon anus à la grosse queue de mon amant. Pendant nos ébats, il m’a murmuré des mots gentils : « Khaletlek e’layla ! bach t’kouni m’rati ejdida ! kheir mine kahabti ! » - (je t’ai laissé cette nuit ! pour que tu sois ma nouvelle femme ! mieux que ma putain !) et il ajouta avec un sourire prometteur : « rani rajlik ! n’hilek sou’tek ! » - (je suis ton mari ! et je t’ouvre ta chatte !) Ces paroles chuchotées, en complices, ont ébranlé, en moi, des tabous ancestraux ! Elles sont plus graves que ce qu’il m’avait dit auparavant. Me considérer non plus comme simple putain, simple sujet ou partenaire de plaisirs sexuels, mais comme femme, c’est passé à un autre stade qui casse les tabous. J’ai eu de la difficulté, au début pour accepter ces mots, mais je n’ai rien dit. Puis il a ajouté : « bach t’dhougui zébi ! we’n’rafadlek el’karch ! » - (pour que tu goutes mon zob !et pour t’engrossir !) . Alors la, je me suis fâché ! Et je l’ai repoussé alors qu’il venait de finir la première sodomie brutale avec éjaculation : « Kifach taj3alni m’ratek ! wana b’zébi ! » (comment peux-tu me considère comme ta femme ! alors que j’ai une bite !) et j’ai ...
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