Terma- Djaffar et Sousou
Datte: 07/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... ajouté la preuve par un geste brusque : « chouf ! hahou zébi waguef ! m’ta’nn’nane 3’la termet Sousou ! » - (regarde ! ma queue debout ! gonflée pour le cul de Sousou !) et toujours courroucé, j’ai ajouté :« l’la ! l’la ! ana sahabtek ! kahabtek ! » - ( non ! non ! je suis ton amie ! ta putain !) et pour bien fixer les droits que je lui octroyais : « teremty hahi leik ! n’haar w’leil ! » - ( ma terma est à toi ! jour et nuit !) «n’moussek w’t’ferek fi teremty ! w’fi foumi ! » - (je te suce et tu te soulage dans ma terma ! et dans ma bouche !) et les limites à ne pas dépasser : « lakine ana mazalte rajel ! wa n’ike termate e’rjal ! el’3atayne kima ana !) – (mais je suis encore un homme ! qui baise les terma des hommes ! des pédés comme moi ! ) Il devint tout rouge et se confondant en excuses, il m’entoura de ses bras, m’embrassa sur les joues et la bouche en murmurant presque craintivement : « raha e’neyka lahlouya hya li dawkhouni ya habibti ! » - (c’est notre baise si douce qui m’a étourdit ! ô mon amie) et avec quelques caresses sur mon visage, sans oublier mes fesses : «khlass ! ma natlach e’nawyk ! » - (ça y est ! je ne te fâcherais plus) « haya ! n’zidou nayka ! li t’salehna! » - (viens ! on va faire une baise ! qui va nous réconcilier !) . Puis augmentant ses caresses sur ma terma et multipliant ses baisers un peu partout sur mon corps, il ajouta avec une voie rauque, pleine de désir : « hatli ! hatli teremtek ! e’nikek mine goudam, 3ayni 3ala 3ayniek !) – ( donnes moi ...
... ta terma ! je vais te niquer par devant, face à face !) . Sincèrement, le ton de sa voie m’a ému et je me suis, alors, abandonné à ses désirs, ses fantasmes, sa force brutale et si douce. Et on est reparti pour une seconde sodomie face à face avec mes jambes largement ouvertes et haut levées. Son zob pointe mon anus et sans préparation, il me pénétra ! Son amour semblait sincère et excuse sa brutalité. En tout cas, il m’a enflammé les sens. J’ai accueilli la force de sa grosse queue dans mes entrailles comme une preuve de passion pour moi et pour ma terma. Et j’étais prêt (ou prête, ce serait plus correcte) à reconsidérer mes conditions et ma saute d’humeur. Pendant qu’il me pilonnait de son gros engin, je continuais à penser. En réalité, me considérer comme femme n’était pas aussi grave que j’ai dit, mais je voulais créer une frontière dans nos relations et surtout dans les considérations que nous avions l’un de l’autre. Je voulais certes gouter à fond les joies de la sodomie, mais aussi garder un espace pour les autres plaisirs, aussi bien sur les terma des autres, et je pensais déjà à Sousou, mais aussi pourquoi pas des femmes. Je ne suis qu’à mes débuts et je ne vais pas restreindre, si tôt, toutes les possibilités de plaisirs sexuels. Voila, c’est clair maintenant. On a gouté ensemble cette seconde sodomie, comme racontée plus haut et on s’est couché ensemble, serrés étroitement sur le même lit. Sousou ronflait déjà depuis un bon moment. Je crois qu’il n’a pas assisté à ...