Premières rencontres (1)
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... rapprochions davantage. Quand nous faisions l’amour, j’insistais pour qu’elle me raconte, par le menu, certaines de ses aventures. J’écoutais en la caressant. Ce qui avait pour résultat de nous mettre dans des états indescriptibles ! J’avais l’impression de revivre ses aventures avec elle. Nous arrivions souvent, sans nous concerter, à contrôler nos sens, freinant ou accélérant pour retarder le plus possible notre explosion finale et simultanée. Nous avions aussi, dès nos premières rencontres, commencé des jeux un peu scabreux. Nous nous donnions rendez-vous dans des endroits les plus insolites, les caves, les escaliers ou les couloirs de grands hôtels, les allées d’immeubles et, sacrilège, un confessionnal dans la cathédrale de Vienne, etc. La crainte mélangée à l’envie d’être découverts augmentait notre plaisir. Nous avions même envisagé de rédiger un guide coquin, des endroits les plus excitants de notre région. À ces évocations, j’étais partagé entre un besoin presque irrépressible, d’actions hyperpornos, "crades", rapides, même un peu violentes avec elle, ou à l’inverse de longs moments de sexe très tendres, très doux, très lents, de caresses, de douceur. C’est peut-être le télescopage de ces deux envies, qui faisait monter autant mon désir. Alterner l’animalité et le romantisme. Longtemps je l’ai influencée, pour l’entraîner dans ces endroits insolites, dans des sex-shops, antres de toutes les turpitudes masculines. Elle craignait ces lieux fréquentés, presque ...
... exclusivement par des hommes. J’aimais surtout voir leurs regards voraces, sur ses jambes ou ses fesses. Ils n’avaient pas l’habitude de voir de jolies femmes, « normales », dans ce genre d’établissement, aussi j’étais très fier de la montrer, de sentir presque leurs désirs, quasiment "palpables". Sa présence suscitait toutes les convoitises. J’avais été si souvent dans leur situation. Eh oui pensé-je « c’est moi qui la caresse partout, partout, et c’est avec moi qu’elle fait l’amour ». Toutefois, je me faisais violence pour ne pas la considérer comme ma propriété. Il me semblait de plus en plus, que ma jalousie disparaissait au profit d’une excitation intense ! Être son jouet, mais aussi jouer avec elle, la partager avec d’autres, ou ne la garder que pour moi, me l’approprier, toutes ces incertitudes aussi participaient à l’explosion de mes sensations ! Ce soir de printemps, nous entrons dans la boutique. L’endroit est peu éclairé. Quelques hommes déambulent dans les rayons d’accessoires divers, de revues, de K7 pornos. Comme des conspirateurs honteux, tous font mine de lire ou d’examiner des objets, tout en regardant, en coin, la chute de reins de ma compagne, ou en lorgnant dans son décolleté. À l’étage dans une partie du couloir trois cabines se suivent. Nous entrons dans celle du milieu. Il y flotte une odeur violente de désodorisant, toutefois incapable de couvrir les odeurs de sperme qui subsistent. Je mets un jeton dans la machine, sur l’écran vidéo défilent des scènes ...