1. Don Booth et l'immeuble maudit


    Datte: 22/01/2018, Catégories: h, fh, grp, extracon, cocus, voisins, grossexe, grosseins, bizarre, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, fsodo, jouet, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, humour, policier,

    ... simple raison : l’immense Dooling se trouvait planté devant moi, rivant son regard de bête droit dans le mien ! — Alors Booth, on dort dans l’escalier ?— Ben, vous savez… comme on fait son lit on se couche.— Oui, et chacun voit midi à sa porte.— Mais faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.— Ça, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase !— Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise…— Chat échaudé craint l’eau froide !— Il est des raisons qui ont raison de la raison.— Oui, mais qui a vécu par l’épée mourra par l’épée !— Chez les Papous il y a des papas à poux et des papas pas à poux !— Je crois que nous nous sommes tout dit !— Je le crois aussi… Il claqua la porte, me laissant seul. J’avais gagné cette manche, c’était incontestable, et, fier de moi, je repartis vers ce qui me servait de logement de fonction afin de raconter l’histoire à Karen que je trouvai malheureusement endormie sur son canapé, et que je n’osai par réveiller. Le lendemain matin, je descendis le premier, laissant Karen dormir. J’avais remarqué, dans un coin de la salle commune du rez-de-chaussée, ce qui ressemblait à une antique machine à café ; le meilleur moyen de se réveiller. Seul problème : trouver le mode d’emploi du noble percolateur… C’était pourtant un comble de ne pas pouvoir trouver du café chez un type qui s’appelait Maxwell ! Je m’escrimais depuis déjà plusieurs minutes lorsqu’une âme charitable, en la personne de monsieur Trout, me vint en aide… — Pas facile ...
    ... à maîtriser, hein ? Faut abaisser le levier à droite en premier lieu, et puis après… oh et puis laissez-moi faire, je vous montre ! Je m’écartai bien volontiers, lui laissant ma tasse afin qu’il la remplisse du noir breuvage. — Mon père fabriquait ce genre de machines, me disait l’homme tout en manipulant l’engin. Alors je connais ce genre de bidule ! Faut taper très fort là, juste à droite ! Et, à ma grande surprise, il sortit de sa poche un marteau et entreprit de donner de violents coups sur le côté de la machine qui se mit à émettre un bruit de locomotive et à cracher du café droit dans ma tasse. — Et voilà, dit-il de façon naturelle.— Merci bien, répondis-je. Sans vous je n’avais pas de café. Mais dites-moi, vous avez toujours un marteau sur vous ?— Ben oui. Pourquoi ?— Rares sont les personnes qui ont un marteau sur elle en permanence…— Ben… elles ne boivent pas de café ?— Oh si, sûrement.— Pas de marteau, pas de café ! C’est comme ça ! Je me souviens, à une époque, je cueillais du café au Guatemala, on allait le moudre direct à la sortie de la cueillette et on s’en tapait de ces tasses ! Je vous raconte pas ! Tout frais ! Du genre qu’on n’arrive plus à s’endormir après ! Je saisis l’occasion : — D’ailleurs, en parlant de dormir, vous y arrivez sans soucis vous ? Car moi la nuit dernière… Ma question restait énigmatique à dessein, je pouvais ainsi aussi bien embrayer sur les bruits étranges dont Maxwell m’avait parlé que sur la nuit d’orgie de Dooling… — Ah, n’en dites ...
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