1. Don Booth et l'immeuble maudit


    Datte: 22/01/2018, Catégories: h, fh, grp, extracon, cocus, voisins, grossexe, grosseins, bizarre, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, fsodo, jouet, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, humour, policier,

    ... Devil Apocryph !— Hein ?— Mon maître sado-maso ! Tous les premiers dimanches du mois, je suis à lui pour toute la journée ! C’est lui qui m’a appris ce truc des menottes et de l’orgasme contrôlé !— Ben faudra que je lui rende une petite visite !— Tu n’aimes pas ce qui se passe en ce moment ? Je dus réfléchir à la situation l’espace d’une seconde ; une seule petite minuscule seconde, juste un instant de réflexion avant de répondre : — Euh… Et là je m’abandonnai complètement, oubliant tout, me donnant entièrement à cette femme qui me tenait au creux de sa main, et, le lecteur excusera la grossièreté de mon langage, mais putain ce que c’était bon d’être au creux de sa main ! Lorsque je revins à l’appartement, une éternité plus tard, j’entendis Karen dans la salle de bain. — Karen ?— Ah ! Don ! T’es enfin là, répondit-elle.— Oui ! Et toi ? T’étais où ? Je ne t’ai pas vu de la journée !— Oh ! J’ai enquêté à droite et à gauche ! Et toi ?— Euh… j’ai enquêté à droite et à gauche… moi aussi…— Et t’as découvert quelque chose ? Je l’entendais remuer à la salle de bain pendant qu’elle parlait, cela me contrariait, car j’aurais bien aimé y aller aussi… — Oui, des trucs, et toi ? Elle sortit alors de la pièce et se trouva face à moi dans la salle de séjour. Elle était nue, juste « vêtue » d’une serviette entourant ses cheveux. — Mais… Don… T’es passé dans un presse-purée ? Elle me détaillait des pieds à la tête, et il est vrai que je ne devais pas être très présentable… Mon froc était ...
    ... déchiré à l’entrejambe, mon caleçon avait disparu, je me baladais la bite à l’air, molle. Ma chemise était en lambeau, ma veste aussi, mon holster retenait un godemichet de belle taille à la place de mon fidèle Colt que j’avais perdu quelque part, mon corps qu’on devinait à travers toutes les ouvertures des vêtements montrait un nombre incalculable de balafres… — Oh Karen, si tu savais ce qui… mais ! C’est quoi, ces marques sur ton corps ! Je venais seulement de les apercevoir, des marques rouges, cramoisies, sur son ventre, autour de ses seins, et j’en devinais aussi derrière, sur ses fesses et son dos. — Oh… répondit-elle, un peu gênée. Ben comme je te l’ai dit, j’ai enquêté, et Dooling m’a montré des trucs inimaginables…— Harry le Désosseur ?— Si tu connais son nom de scène, alors tu vois ce dont je veux parler ! Bon sang quel mec !— Quoi ?— Oh bon sang, oui ! Le pied qu’il m’a fait prendre ! Il m’a défoncée comme une bête, m’a montré des positions que je ne soupçonnais même pas, m’a fait jouir huit fois ! Non, mais t’imagines ? Le mieux que t’aies pu faire était deux fois en cinq heures ! Enfin… je ne dis pas ça pour te vexer, hein ? C’était bien quand même…— Ben, en l’occurrence, si, tu me vexes un peu là, quand même…— Ben et toi ? C’est quoi cet état délabré ?— Ne change pas de sujet, s’il te plaît !— Si tu ne me racontes pas en détail, je te fais la gueule pendant un mois !— Mais vous vous êtes toutes liguées contre moi aujourd’hui ? Le lecteur me pardonnera, mais je ne ...
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