Don Booth et l'immeuble maudit
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
fh,
grp,
extracon,
cocus,
voisins,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
jouet,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
humour,
policier,
... vois pas trop l’utilité de m’épancher ici. Il faudra juste retenir que je racontai juste l’essentiel à Karen : comment mon flingue avait été remplacé par un vibro, comment des marques rougeâtres étaient subitement apparues sur mon dos et mes fesses, comment mon caleçon avait disparu, pourquoi je me retrouvais avec un porte-jarretelles dans la poche intérieure de ma veste, pourquoi les restes de mon pantalon sentaient si fort le pipi, pourquoi j’avais la bite en feu et pourquoi j’avais un plug enfoncé dans le derrière… (d’un autre côté, si elle avait su à quel point mes couilles étaient vides, elle ne m’aurait pas pris en pitié comme elle le fit, alors j’étais plutôt content de moi). Le soir tombait peu à peu, et derrière les volets fermés la pluie faisait rage, pour ne pas changer… Nous ne nous étions rien dit de plus dans l’après-midi. Nous avions compris… nous étions aussi morts que les zombies d’un film de Romero. Nous nous étions affalés sur le lit côte à côte, et ce malgré ses réticences lors du début du séjour. Plus tard dans la soirée, après une sorte de coma mutuel, Karen avait ramené des plats du traiteur chinois et une poche de glace qu’elle avait gentiment posée sur mon entrejambe sans un mot. Elle était précieuse, Karen… Elle s’était également arrêtée au drugstore et avait rapporté un tube de crème qu’elle me tendit afin que j’en tartine les marques sur ma peau. Je fis semblant de ne pas voir qu’elle s’était servie du tube pour elle-même avant de me le donner… ...
... Nous mangeâmes un riz mêlé à des trucs impossibles à déterminer, mais l’ensemble n’était pas mauvais. Elle avait même ramené un pack de six de Corona bien fraîches. Elle était gentille Karen… Nous finissions chacun notre bière en nous regardant à travers du lit. Il était temps de parler. — Alors, Dooling, il t’a dit des trucs ?— J’ai appris beaucoup sur lui… C’est un pervers, mais il n’a pas forcément aussi confiance en lui qu’il veut bien l’admettre, en fait c’est juste un beau parleur, et après il se pose tout un tas de questions existentielles. Par contre si tu réussis à le pousser au pieu, là il devient un super coup. Une terreur ! Brutal comme un ours si t’as envie qu’il le soit, doux comme un agneau si tu préfères comme ça, inventif, à l’écoute, imaginatif, joueur, attentionné… bref l’amant parfait selon moi. Et en plus avec ça un physique génial, des pectoraux durs comme de l’acier, des abdos en tablette de chocolat, des bras comme des poutres, une queue longue et travailleuse…— Je voulais dire : est-ce qu’il t’a dit des trucs en rapport avec l’enquête !— Ah, l’enquête… On lui a fauché son peigne il y a quelque temps ! Et crois-moi, il faut être taré pour faucher le peigne d’un type qui se fait appeler « Harry le Désosseur » ! Et il a entendu également à plusieurs reprises du bruit dans l’escalier. À chaque fois il pensait que c’était l’un ou l’autre de ses partenaires de sexe, mais c’était plutôt une sorte de fantôme…— En gros la même histoire que madame Robinson… Des ...