Don Booth et l'immeuble maudit
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
fh,
grp,
extracon,
cocus,
voisins,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
jouet,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
humour,
policier,
... crik… crik… Oui ! Bon sang c’était ça ! — Un sommier qui grince en rythme ! J’entendis Karen se redresser sur le canapé dans la pièce à côté : — Tu es sûr ?— Oh que oui. Le rythme est très précis, écoute bien… oui, c’est bien ça, 102 grincements par minutes, l’homme est en bonne forme physique, il est au-dessus de la femme, et vu la puissance des grincements, je dirais qu’il doit mesurer plus d’1,83 m et peser au moins 94 kilos, mais bien sûr cela peut être faussé par l’âge du sommier et le type de métal utilisé pour en fabriquer les ressorts. Pas de doutes, ça vient de l’étage au-dessus, c’est le catcheur, Dooling ! Pourtant Maxwell nous a dit qu’il vivait seul… il a donc une maîtresse ! Ah ah ah ! Voilà une intéressante découverte ! Karen, va voir, s’il te plaît.— Quoi ? Voir ? Comment ça ?— Ben je sais pas, tu es mon assistante, non ? Essaye de te débrouiller pour savoir avec qui il baise.— Et toi ?— Je continue de me concentrer sur l’écoute. Je ne peux pas tout faire… Karen poussa un soupir, mais se leva et se dirigea vers la porte de l’appartement. Je savais que je pouvais compter sur elle. Pendant qu’elle se faufilait sur le palier, je continuai d’écouter. Était-ce là les bruits « suspects » dont parlait Maxwell ? À l’étage du dessus, le rythme s’accélérait, les choses arrivaient à leur conclusion. J’étais tellement absorbé par le travail de surveillance que j’en avais oublié l’érection qui déformait les draps. Je n’eus toutefois pas le temps d’y penser, car je ...
... percevais désormais au-dessus de moi des « ah » clairement féminins, l’affaire se terminait d’une belle façon apparemment. Quelques instants plus tard, j’entendais une porte claquer, et moins d’une minute après Karen faisait son apparition dans la chambre. — Alors ?— J’ai clairement vu madame Robinson se faufiler dans l’escalier, répondit-elle.— Il y a donc un cocu dans l’immeuble… je note. Mais le travail était fini, et je rappelai Karen : — Karen, ne crois-tu pas qu’il serait temps de penser à autre chose ?— Dormir ? Je repoussai les draps, dévoilant mon sexe tendu à l’extrême. — Non, je ne pensais pas à ça…— Oh, ça t’a filé la trique d’imaginer ce qui se passait là-haut ?— On peut dire ça, oui, et je me demandais si tu accepterais…— De te laisser te soulager ? Oui, bien sûr, ne te gêne pas pour moi ! Et sans rien ajouter, elle retourna sur le canapé pendant que j’étouffais un juron. C’est bien malgré moi que je mis à imaginer les événements qui avaient pu se dérouler juste au-dessus de ma tête quelques instants plus tôt. Madame Robinson n’était pas forcément une femme magnifique, mais pour ce que j’avais pu constater, elle devait être relativement excitante une fois nue. J’imaginais sans peine le plaisir qu’un homme pouvait ressentir en posant les mains sur les hanches plutôt larges de la dame, ou en pétrissant sa poitrine lourde qui devait emplir les paluches à ne plus savoir quoi en faire. Je commençais bien malgré moi à me caresser en imaginant le corps musclé et dur de Dooling ...