Si par des nuits diverses, un fourrageur
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
fh,
hagé,
fagée,
jeunes,
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Collègues / Travail
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Masturbation
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Oral
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... compagnie de Monsieur Du Perret. On y mangeait bien et les saillies, bien que manquant d’un peu de confort à son goût, n’étaient pas désagréables. Son patron n’était jamais brutal avec elle. Orné d’un sexe dont la taille et la forme la comblaient parfaitement, il lui procurait un plaisir sexuel brut et frontal que son petit ami ne lui offrait pas. Ce dernier était certes fin et délicat en plus d’être éperdument amoureux de Marcelle mais sa sophistication exagérément torturée lui interdisait de plonger dans la baise franche. Marcelle connaissait le goût du vice de son directeur. Elle s’y soumettait avec une excitante résignation, lui permettant de se vautrer dans les cochoncetés sans entacher sa bonne conscience. Elle connaissait aussi l’effet bœuf que l’obscurité des tunnels provoquait chez son assaillant. C’est pourquoi elle laissa son anus accueillir gentiment des phalanges fébriles pendant que son vagin subissait un martèlement implacable. Jouant de toute sa course, la queue s’enfonçait longuement avant de se rétracter, préparant l’assaut suivant. Louis toussa, son cœur ne suivait plus la cadence. Comme un fou il retira entièrement sa verge du doux fourreau, se jeta à genoux et regarda, la langue pendante, ses doigts se retirer lentement des fesses de sa subordonnée. Il prit chaque globe dans une main, les écarta et plaqua sa bouche grande ouverte sur la raie délicate. Il lécha le sexe, les lèvres, remonta à l’œillet. Haletant, il bavait généreusement, enduisant tout, ...
... baignant tout. Bientôt une large partie des fesses et du haut des cuisses brillait et dégoulinait de salive. Louis saisit fébrilement la jambe encore en appui sur le sol et l’écarta pour déposer le genou sur la seconde banquette. Marcelle n’était pas si grande et pour se tenir ainsi, un genou sur chaque banquette se faisant face, elle devait écarter les cuisses bien grand. Subitement le train ralentit, on arrivait en gare de Langeac. Louis se releva en hâte et après avoir passé et repassé ses mains avides sur cette jeune chair mouillée, il enduisit et assouplit l’anneau avec les doigts. Marcelle connaissant d’avance les prochains épisodes – le gland épais, la poussée, le passage, l’invasion – ouvrit grand les yeux. Elle aurait un peu mal, il allait la lui mettre dans les fesses. Le début ne serait pas facile mais elle savait qu’il faudrait pourtant bien qu’il rentre ! Elle ne s’avouait pas qu’elle aimait un peu ça et regardait au dehors, à travers la vitre, de toutes ses forces. Louis secouait son pénis pour lui rendre de la raideur. Le train arrivait à quai, lequel était bondé. Louis posa son vit à plat sur le derrière de Marcelle, il cala son sexe entre les deux fesses et se branla quelques coups ainsi. Le train s’arrêta. Louis recula et posa son gland sur le petit trou. Des gens descendirent du train. Marcelle voyait leurs visages à quelques centimètres du sien. Des regards perspicaces pourraient-ils la remarquer ? Seul son nez apparaissait tout en bas de la vitre. Est-ce que ...