1. Si par des nuits diverses, un fourrageur


    Datte: 22/01/2018, Catégories: h, fh, hagé, fagée, jeunes, couple, Collègues / Travail plage, train, bateau, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation massage, Oral pénétratio, fsodo, exercice, tutu, lettre, mélo, nostalgie, portrait,

    ... possible un profond et respectueux recueillement. Pour de bon, je m’arc-boute au-dedans, je me prépare à encaisser. Je bande tous mes muscles, mes phalanges blanchissent. Comme chaque fois je me demande si je ne vais pas exploser durant cette maudite messe, bondir en éructant de rage. Et puis ces bruits de cochons souffreteux tout autour de moi. Mes oreilles noyées dans ce vacarme assourdi en bourdonnent d’angoisse. Les vieux ! Ah les vieux et leurs grouinements humides ! Les vieux qui reniflent, qui se grattent, qui pètent ! Ils me répugnent tous ces vieux. Ces fruits rabougris et laids qui refusent avec hauteur de se retirer de la corbeille. J’en suis à ces considérations, le menton collé au torse lorsque je sens à nouveau le parfum de tout à l’heure. Je relève le nez. Elle est là. Assise, juste devant moi ! L’église haïe, exécrée, disparaît. Je regarde cette jolie nuque. Des cheveux châtains, tirés. Mais par bonheur nombreuses sont les mèches rebelles. Elles ondulent dans tous les sens sur cette peau claire. La large échancrure du col me montre le haut de son dos. Cette peau chaude, vibrante, juste sous mon nez, m’affole. Je me fais violence pour que ma main n’aille pas à sa rencontre. Une peau blanche, des grains de beauté : Douze ! Comme les apôtres ! Alors que défilent les psaumes et les Alléluia, je compte et recompte sans cesse ces perles brunes. Je me recule pour tenter de la contempler dans son ensemble. Je me penche, m’avance, bref me contorsionne pour me la ...
    ... figurer sous toutes les coutures. Son buste bientôt s’amincit sur une taille fine et élancée. Mes yeux essayent de deviner la forme, plus bas. Ses fesses. Les plis incalculables de sa robe bouffante m’en défendent. En collant l’épaule contre celle de ma sœur je parviens à voir son sein gauche. Jeune encore mais haut et déjà gros, gonflé, haletant, prometteur. Il n’est pas exagéré de dire que je suis très excité à présent et que si mes gesticulations primesautières n’ont pas été repérées par ma mère ça n’est que par pur miracle. Ben quoi, on est dans une église non ? Je dois reconnaître au bon Dieu d’avoir bien choisi le moment de me rendre la monnaie de toutes les pièces qu’on m’a extorquées pendant des années. Je souffle comme une locomotive et l’élue de mes sens ne peut bientôt plus ignorer l’air chaud venant s’écraser sur sa nuque. Elle pivote doucement, son menton apparaît, si joli ! Son œil en coin se pose sur moi. Je tremble d’exaltation mais aussi de honte, les joues rouges, la bouche humide, j’ai peur d’avoir postillonné. La belle fait alors un petit sourire complice. Mon cœur bat à rompre. Bientôt, faisant mine de réajuster son assise je la vois reculer nettement les pieds sous son banc. Sa robe, dragon de sa chasteté, reste coincée par le genou : vaincue, elle remonte jusqu’à mi-mollet et laisse se découvrir des petites chaussures noires, de courtes chaussettes blanches à dentelle et ses fins mollets ! Hmmm ! Ses pieds reposent en équilibre sur leurs pointes. D’abord ...
«1234...15»