1. Quand on tire le diable par la queue (4)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... probablement partie, car tu t’ennuyais et tu peux utiliser mon lit si tu es fatiguée, les draps datent de hier, si cela ne te fait rien. – Merci. Il redescend vers ses invités et les informe que Maryse est fatiguée et qu’elle se repose à l’étage. – Oups dit sa mère, je n’ai pas changé tes draps. – À la guerre comme à la guerre répond Jean. Pendant ce temps, Maryse, curieuse fouille un peu dans les affaires et voit les affaires de nuit négligemment posées sur une chaise, un peu excitée, elle les prend et les renifle. – On sent le mâle, pense-t-elle, en mettant son nez dans la lingerie. Cela me chauffe mon minou, plutôt surchauffe mon minou et elle commence à se caresser la motte, qui s’humidifie de plus en plus. Tiens, je vais essayer quelque chose, je vais m’essuyer la chatte une fois que j’aurai terminé dans sa culotte de nuit. Je suis un peu folle, mais il m’excite dur dur. Je ne sais si je me trompe, mais il doit être bon au lit et cela me changerait de mon mec actuel qui n’est pas au top je trouve. Le soir venu, les invités quittent en félicitant Jean pour l’amélioration de sa maison et s’étonne ce que fait Maryse. – Si elle dort encore, dès qu’elle se réveillera, je vous l’enverrai Patron. – Je crois que maintenant qu’on est très proche, on va se tutoyer en privé, tu m’appelleras Georgie comme mes amis. – Oui, cela me convient. Une fois les invités partis, Jean monte dans sa chambre et trouve Maryse effectivement endormie avec son caleçon à la main et une forte odeur ...
    ... de mouille dans la chambre. Il redescend doucement vers sa mère et l’informe : – J’ai l’impression que la nièce du patron s’est branlée dans ma culotte et s’est endormie, je ne sais pas comment il faut réagir. – Je pense que tu es mieux à même de régler la situation, tu as son âge, soit galant et peut-être ce sera tout bon. – Oui maman, lui dit-il en lui caressant les nibards et lui roulant un patin pour se donner du courage. Il remonte dans la soupente et doucement caresse le bras de l’endormie qui grogne un peu, comme si elle ne voulait pas être réveillée. – Maryse, il est tard ! Soupire Jean. Les invités sont partis. Elle ouvre un oeil, puis deux et lui adresse un tour grand sourire. – Je suis bien contente, viens t’asseoir à coté de moi, pour discuter un peu. Minaude-t-elle, prends moi dans tes bras. – Mais tu n’as pas déjà un petit ami ? – Oui, mais justement il n’est pas là et j’ai un besoin fort de tendresse répond-t-elle en tendant ses lèvres. – Hum, j’ai l’impression que tu as envie d’une conversation particulière, lui dit-t-il en lui prenant à son tour les lèvres et en lui collant un patin. Sous l’excitation, elle bombe la poitrine juvénile, ce qui est clairement un appel au pelotage, ce qu’a bien compris Jean qui glisse sa main sous le thi chorte (pour les puristes le Tee-shirt ou Tshirt ) et empaume un sein. – Elle est douce ta poitrine !lui dit il en agaçant les tétons – Je peux enlever mon chandail ? Ce serait mieux. – Je n’osais pas te le demander. – Mets-toi ...
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